2025 Colloque d’ABIDJAN en CÔTE D’IVOIRE

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Appel à communications 

pour le 7ème Colloque International du RAIFFET

Éducation technologique, formation professionnelle

et l’éducation pour une société durable

Université d’Abidjan (CÔTE D’IVOIRE)

5 au 8 mai 2025

English version

S’inscrire via : https://raiffet2025.sciencesconf.org

Préambule

Au travers l’adoption des Objectifs Mondiaux de Développement (OMD) puis des Objectifs de Développement Durable (ODD)[1], l’ONU a édicté, « 17 objectifs de Développement Durable (ODD) » en vue de parvenir à un avenir meilleur et un monde plus durable pour tous. Ces 17 ODD sont au cœur de l’Agenda 2030, feuille de route du développement de l’ensemble des États.

Dans le cadre de l’Agenda 2030 pour le développement durable, l’UNESCO coordonne l’ODD « éducation de qualité » qui fait partie intégrante du programme de développement durable et constitue le quatrième des 17 objectifs de développement durable (ODD) adoptés par les Nations Unies, à New York, en septembre 2015. Cet objectif vise à « assurer l’accès de tous à une éducation de qualité, sur un pied d’égalité et à promouvoir les possibilités d’apprentissage tout au long de la vie ».

L’Union africaine soucieuse d’adapter et de rendre les objectifs de l’ODD4 compatibles avec ses propres objectifs a adopté en 2016,  la stratégie continentale d’éducation pour l’Afrique (CESA 16-25)[2] comme cadre pour la transformation des systèmes éducatifs.

En 2019, un rapport publié conjointe par l’Institut de statistique de l’UNESCO (ISU) et de l’Observatoire mondial de l’éducation (GEM) sur le « respect des engagements » du quatrième objectif de développement durable relatifs à l’éducation (ODD 4) souligne les progrés accomplis depuis 2015 dans l’accès, l’achèvement et la qualité de l’éducation de base pour tous. Cependant,  les progrès vers la réalisation de l’ODD 4 restent insuffisants : l’accès à une éducation de qualité reste incomplet et des disparités importantes persitent dans le monde (Mabiala, M. U. (2023))[3]  et au sein des pays eux-même (Kanga, B. M. (2023))[4]. L’Afrique pèse plus lourd que les autres continents dans les écarts à combler pour atteindre les objectifs de l’ODD 4, qui sont également reflétés dans la Stratégie Continentale pour l’eEducation en Afrique (CESA) (16-25).

Pour faire face à cette crise de l’éducation en Afrique, l’Union Africaine annonce via une note d’information[5] faire de l’éducation le thème de l’année 2024 « Éduquer une Afrique adaptée au 21e siècle : Construire des systèmes éducatifs résilients pour un accès accru à un apprentissage inclusif, qualitatif, durable et pertinent pour l’Afrique ».

Ainsi pour atteindre les objectifs de l’ODD 4, qui sont également reflétés dans la Stratégie continentale pour l’éducation en Afrique (CESA 16-25), l’Union Africaine invite l’ensemble des acteurs du préscolaire à l’université, incluant l’Enseignement et la Formation Techniques et Professionnelles (EFTP) et l’éducation non formelle à recentrer leurs efforts sur la qualité de l’enseignement, de l’apprentissage et sur l’acquisition des compétences. Trois niveaux d’action peuvent être envisagés :

  • Au niveau des politiques éducatives : notamment par les réformes des curricula pour permettre l’acquisition de connaissances, de compétences, de valeurs et d’attitudes dont tous les enfants, les jeunes et les adultes ont ou auront besoin pour devenir des participants actifs de la transformation des sociétés dans lesquelles ils vivent.
  • Au niveau de l’apprentissage : qui doit permettre la maitrise des connaissances de base (lire, écrire, compter, raisonner) dans une perspective de poursuite d’études et/ou la construction d’un avenir socioprofessionnel ;
  • Au niveau de la formation des enseignants : qui doit permettre à chaque enseignant d’exercer son métier dans les meilleures conditions et de développer ses savoirs et ses compétences professionnelles.

Thèmes du colloque

Ce septième colloque sera l’occasion de confronter les points de vue sur cette question de l’éducation pour une société durable du pré-scolaire à l’université incluant l’Enseignement et la Formation Techniques et Professionnelles (EFTP) et l’éducation non formelle. Il s’agit donc de nous interroger sur la manière dont les objectifs pour une éducation durable sont construits selon 3 axes :

Axe 1 — Politiques éducatives pour une société durable

Ce premier axe interroge l’impact des politiques éducatives sur l’organisation des systèmes d’éducation et de formation dans l’ensemble des sous-secteurs d’éducation, tout particulièrement dans les domaines de l’éducation scientifique, technologique et professionnelle.

En effet, si l’on

« considère que les actions qui améliorent la qualité de l’éducation se situent en classe et dans l’école, elles sont constamment influencées par des actions et des décisions qui se prennent en dehors de l’école, notamment aux différents niveaux du système éducatif. Il y a donc lieu de se demander si ces différentes décisions et actions sont pertinentes, coordonnées et orientées vers l’objectif commun d’un meilleur apprentissage pour les élèves »[6].

Les propositions s’attacheront à présenter des expérimentations ou des travaux qui visent à apprécier, voire de mesurer les effets de telle ou telle décision politique sur la question de l’éducation pour tous, qu’il s’agisse de l’accès à la culture scientifique et technologique, de l’inclusion scolaire, d’une meilleure articulation formation-emploi ou encore de la formation des enseignants pour leur permettre de mettre en place un enseignement de qualité.

Axe 2 : Enseigner – apprendre pour une société durable

Ce deuxième axe interroge les conditions d’organisation des situations d’enseignement susceptibles de favoriser l’appropriation de connaissances ou de compétences, par les enfants, les adolescents ou les adultes, dans l’ensemble des sous-secteurs d’éducation, tout particulièrement dans les domaines de l’éducation scientifique, technologique et professionnelle.

Scolarisation n’est pas synonyme d’apprentissage[7]. Les enfants apprennent très peu dans de nombreux systèmes d’enseignement à travers le monde : même après plusieurs années de scolarité, des millions d’enfants ne maîtrisent pas les bases de la lecture, de l’écriture et du calcul. Pour autant une éducation pour une société durable suppose de doter les apprenants des compétences dont ils ont besoin pour mener une existence saine, productive et riche de sens.

Les propositions s’attacheront à présenter des expérimentations ou des travaux de recherches qui visent à caractériser l’efficacité du système didactique au travers de l’analyse de ce que l’enseignant/formateur enseigne et de ce que les apprenants apprennent. Autrement dit, en quoi les organisations mises en œuvre par l’enseignant/formateurs favorisent ou desservent l’apprentissage de chacune et chacun des individus qui composent la diversité des apprenants ? Cette question sera également l’occasion d’engager une réflexion sur le rôle de la formation initiale et continue des enseignants/formateurs pour penser l’efficacité de ces organisations.

Axe 3 : Technologies de l’information et de la communication pour une société durable

Ce troisième axe interroge le rôle des Technologies de l’Information et de la Communication dans le processus d’enseignement apprentissage dans l’ensemble des sous-secteurs d’éducation, tout particulièrement dans les domaines de l’éducation scientifique, technologique et professionnelle. Les environnements pédagogiques liés à l’utilisation des TIC sont pour les politiques et les spécialistes de l’Education a priori porteurs d’espoirs pour relever les nombreux défis de l’Education en Afrique et ce dans toutes les facettes de l’éducation, en particulier en ce qui concerne l’enseignement et l’apprentissage à tous.  La déclaration ministérielle de la Triennale 2022 de l’ADEA[8] reconnaît le rôle des technologies pour améliorer l’offre durable d’éducation et de formation en Afrique. Ceci est encore plus pertinent en Afrique, où les résultats de l’apprentissage étaient à un niveau de crise avant la pandémie de COVID-19.  Pour autant, la technologie n’est pas une solution miracle pour relever tous les défis de l’éducation en Afrique. Mais son application appropriée peut résoudre en grande partie les problèmes initiaux de l’enseignement et de l’apprentissage, si elle est exploitée correctement. Comme le souligne Fortin (2022)[9]

« L’implantation de ces outils modernes est inévitable et porte avec elle ses avantages, mais il serait faux d’accorder une confiance incontestée en la technologie comme salvatrice de bon nombre des problèmes les plus graves du monde. »

La généralisation de l’usage du numérique induit de nouvelles formes de rapport aux savoirs des acteurs dont le choix et l’organisation vont être déterminants en matière d’efficacité des apprentissages.

Les propositions s’attacheront à analyser le rôle de ces outils qui instrumentent les activités des apprenants et des enseignants,  visant à comprendre et expliquer les effets de leur intégration dans le processus d’enseignement-apprentissage. Ce thème sera l’occasion de répondre à de nombreux questionnements en matière d’évolution pédagogique dans l’ensemble des sous-secteurs d’éducation.

Objectifs du Colloque

Ce colloque doit favoriser les échanges entre partenaires et surtout entre les participants. Il n’est pas le seul rendez-vous institutionnel mais il est l’occasion de développer des coopérations scientifiques, de promouvoir les pratiques innovantes et de contribuer à la professionnalisation des acteurs. Cette formation à et par la recherche en éducation participe de la professionnalisation de l’ensemble des partenaires du réseau. Il est l’occasion de diffuser des résultats des recherches conduites dans le domaine de l’éducation scientifique et technologique et de la formation professionnelle, d’échanger sur les innovations, vecteur du développement des sociétés, de favoriser la construction de futurs programmes communs et de soutenir la publication scientifique afin de valoriser les recherches conduites au-delà de nos réseaux locaux.

Par ailleurs, il vise à accompagner les doctorants et post-doctorants dans une démarche de communications et de publications scientifiques.

Prix Jacques Ginestié jeune Chercheur RAIFFET 2025

Lors de chacun de ses colloques, le RAIFFET décerne le Prix du Jeune Chercheur. Ce prix vise à remarquer le travail d’un jeune chercheur engagé dans la recherche récemment.

Les critères retenus concernent la qualité de la production scientifique, l’originalité des travaux conduits, ainsi que l’intérêt et la portée sociale pour le développement de l’éducation, notamment en Afrique.

Peuvent candidater tous les jeunes docteurs (ayant soutenu leur thèse entre 2020 et 2024), sans aucune condition de nationalité, de langue de rédaction des travaux scientifiques ou de pays dans lequel les travaux ont été réalisés.

Pour pouvoir candidater, les personnes intéressées doivent déposer en plus de leur communication au colloque :

  • Un Curriculum Vitae détaillé (quatre pages maximum, détaillant les activités d’enseignement, les activités de recherche et les responsabilités exercées)
  • La liste des publications scientifiques produites par le candidat et distinguant les articles, les ouvrages et les chapitres d’ouvrages, les communications dans des colloques (en précisant si ces communications sont publiées ou non dans des actes). La liste sera fournie à la norme APA 6th.

Le Prix du Jeune Chercheur est remis aux lauréats lors de la soirée de Gala. Nous vous remercions de votre intérêt et de votre participation à ce colloque. Ensemble, contribuons à un avenir meilleur et plus durable pour tous.

Calendrier et dépôt des communications

  1. Communication complète de 15 000 caractères (espaces et ponctuations compris) hors bibliographie.
  2. Lancement de l’appel à communication : 5 octobre 2024
  3. Soumission des articles (résumé et texte complet, date limite : 5 janvier 2025
  4. Notification acceptation et demandes corrections : 5 février 2025
  5. Dépôt des articles finis, date limite : 5 avril 2025

Pré-inscription au colloque

Pour nous permettre de vous accompagner dans la recherche de financements pour votre participation au colloque et afin de faciliter la communication entre nous, nous vous demandons de vous préinscrire le plus rapidement possible via la plateforme https://raiffet2025.sciencesconf.org/ 

Dès votre préinscription réalisée, nous vous ferons parvenir un courrier officiel du RAIFFET afin de vous permettre de solliciter votre institution d’appartenance (université, école, laboratoire, ONG, entreprise…) pour l’obtention du financement de votre participation au colloque.

1. Compléter le formulaire en ligne sur sciencesconf.org,

https://raiffet2025.sciencesconf.org

De quelles informations avez vous besoin ?

Votre identité professionnelle

    • NOM, Prénom,
    • Numéro de téléphone :
    • Pays :
    • Laboratoire, Établissement :
    • Adresse professionnelle :
    • Courriel professionnel, Adresse site Web professionnel
    • Numéro de téléphone,
    • Passeport (Numéro, délivré le, Par l’autorité) :
    • Visa :

Le coût de l’inscription au colloque

Les frais d’inscription au colloque concernent les communicants et les auditeurs ou accompagnateur. Ils incluent :

    • La participation à l’ensemble des sessions du colloque
    • Le matériel du colloque
    • L’hébergement comprend la chambre, le petit déjeuner, le  déjeuner, le dîner, les pauses-café et le repas de gala.
    1. Membre AFRICAIN du RAIFFET : ETUDIANTE, ETUDIANT, 5000FCFA/ 7€  Inscription AVEC communication SANS hébergement AVEC paiement des 5000FCFA sur place auprès du gestionnaire financier du colloque ou son représentant.
    2. Membre AFRICAIN du RAIFFET : ENSEIGNANT, CHERCHEUR, ENCADREMENT, 30.000FCFA/ 45€ Inscription AVEC communication AVEC les déjeuners, les pauses-café, le repas de Gala et SANS Hébergement.
    3. Membre AFRICAIN du RAIFFET : ETUDIANTE, ETUDIANT, 70.000FCFA/105€ Inscription AVEC communication AVEC Hébergement qui comprend une chambre d’hôtel pour cinq nuits (du 3 au 8 mai ) avec le petit déjeuner, déjeuners, le dîner, les pauses-café, le repas de gala, les navettes aéroport-hôtel et hôtel-lieu du colloque.
    4. Membre AFRICAIN du RAIFFET : ENSEIGNANT, CHERCHEUR, ENCADREMENT, 100000FCFA/ 150€ Inscription AVEC communication AVEC hébergement qui comprend une chambre d’hôtel pour six nuits (du 10 au 15 avril) avec le petit déjeuner, déjeuners, le dîner, les pauses-café, le repas de gala, les navettes aéroport-hôtel et hôtel-lieu du colloque.
    5. Membre NON AFRICAIN du RAIFFET : ENSEIGNANT, CHERCHEUR, ENCADREMENT,… 985000 FCFA/ 1500€ Inscription AVEC communication AVEC hébergement qui comprend une chambre d’hôtel pour six nuits (du 10 au 15 avril) avec le petit déjeuner, déjeuners, le dîner, les pauses-café, le repas de gala, les navettes aéroport-hôtel et hôtel-lieu du colloque.
    6. Institution NON membre du RAIFFET : ETUDIANT, CHERCHEUR, autres… 985000FCFA : 1500€ Inscription AVEC communication AVEC hébergement qui comprend une chambre d’hôtel pour six nuits (du 3 au 8 mai) avec le petit déjeuner, déjeuners, le dîner, les pauses-café, le repas de gala, les navettes aéroport-hôtel et hôtel-lieu du colloque.
    7. Membre IVOIRIEN du RAIFFET

Rappel aux institutions membres du réseau RAIFFET

Pour nous permettre de mettre en œuvre ces actions, nous avons besoin des contributions des institutions.

Lors de l’assemblée générale de Dakar, nous avions fixé une cotisation annuelle variable selon la taille de l’établissement et selon les ressources de celui-ci.

Le montant envisagé est compris entre 100 000 FCFA (150 €) et 1 000 000 FCFA (1 500 €). Avez-vous pensé à payer votre cotisation ?

Prenez contact avec helene.armand@raiffet.org pour toute demande d’adhésion de votre institution.

2. Régler par un virement bancaire, chèque, liquide

Vols et visa vers la CÔTE D’IVOIRE ?

Les vols et le visa sont financés par les participants.

Prise en charge des coûts ?

1. Prise en charge par votre établissement ou votre laboratoire

    • Mettez-vous en relation avec votre directeur d’établissement ou de laboratoire.
    • Merci de faire parvenir au RAIFFET une copie des éléments de votre demande.

2. Prise en charge par l’AUF ou les ambassades

Faites, dès maintenant une demande auprès de l’AUF pour une aide à la mobilité :

https://www.auf.org/ressources-et-services/bourses/

Le RAIFFET assurant un suivi des demandes déposées auprès de l’AUF, merci de nous faire parvenir une copie des éléments.

3. Ambassades et consulats français à l’étranger

https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/le-ministere-et-son-reseau/annuaires-du-ministere-de-l-europe-et-des-affaires-etrangeres/ambassades-et-consulats-francais-a-l-etranger/

4. Les deux demandes de prise en charge ont échoué

Le RAIFFET pourra apporter une aide complémentaire pour une prise en charge partielle de votre billet

    • Le billet d’avion doit être au tarif le plus économique.
    • Le RAIFFET vous remboursera le prix du billet d’avion déduction faite des 90 000 FCFA (ou 315 €) qui restent à votre charge.
    • Votre demande doit être formulée via helene.armand@raiffet.org dans les meilleurs délais, accompagné des deux attestations de non prise en charge par votre établissement et/ou l’AUF, de la facture d’achat du billet d’avion et de votre RIB.

5. Aucune autre solution

Si malgré les trois dispositifs d’aide ci-dessus, vous rencontrez des difficultés pour financer votre billet d’avion, contactez les organisateurs du 6ème colloque international du RAIFFET via helene.armand@raiffet.org, nous vous proposerons une solution afin de participer.

Modèle publication scientifique

Exemple Hélène ARMAND

Feuille de style RAIFFET HA Libre Office

Feuille de style RAIFFET HA Word docx

Un exemple de communication

Exemple de communication de Stéphane BRUNEL au format .docx

Exemple de communication de Stéphane BRUNEL au format .pdf

Télécharger un modèle

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Modèle publication scientifique format .odt

Modèle de publication scientifique format .docx

Exemple en ligne :

Titre de la communication

Prénom et Nom de l’auteur

Institution, laboratoire

Adresse institution

eMail

Prénom et Nom du second auteur, s’il y a lieu

Institution

Adresse institution

eMail

Résumé

Le résumé de la communication ne doit pas excéder 1 500 caractères, espaces et ponctuations inclus.

Mots-clés : cinq mots-clés au maximum

Titre 1

Titre 2

Titre 3

La rédaction de votre communication doit être faite avec soin en respectant le modèle joint.

La présentation des tableaux se fait en utilisant le modèle ci-dessous.

Évitez les tableaux trop complexes (plus de 6 colonnes et plus de 10 lignes).

Évitez les tableaux qui font apparaître des textes longs

Les titres des colonnes sont centrés, les titres des lignes sont alignés à gauche, les données textuelles sont centrées, les données numériques sont alignées à droite.

Tableau 1 : la légende est avant le tableau et numérotée

Colonne 1 Colonne 2 Total
Ligne 1 Donnée 11 Donnée 12 Donnée 11 + 12
Ligne 2 Donnée 21 Donnée 22 Donnée 21 + 22
Total Donnée 11 + 21 Donnée 12 + 22 Donnée 11+12+21+22

En ce qui concerne les figures, elles doivent être jointes dans des fichiers séparés à un format standard : .jpg, .png, .tif, .gif. N’utilisez pas un autre format pour vos figures et surtout pas le format .bmp

Toutes vos figures sont légendées. La légende est après la figure.

logo-raiffet-2016-800

Figure 1 : la légende est après la figure et numérotée

Les références bibliographiques doivent être à la norme APA. Elles sont citées dans le texte sous la forme suivante (Martin, 2012) ou encore (Dupond & Dupont, 2013) ou encore (Blanche-Neige & Al, 2011).

Lorsque l’on cite plusieurs référence, c’est sous la forme (Cendrillon, 2007 ; Martin, 2009 ; Blanche-Neige & Al, 2005).

On peut également utiliser la forme suivante. White-Snow (2008) montre dans ces travaux que la neige est blanche.

Lorsqu’on emprunte une citation à un auteur, elle doit être repérée entre guillemets et en italique. Si la citation est limitée à quelques mots, elle est incluse « directement dans le texte comme cela » (Cendrillon, 2009).

Lorsque celle-ci est plus longue, elle est introduite de la façon suivante. Dupond & Dupont (2007) formulent l’hypothèse suivante :

« Il est assez simple de rédiger un texte pour une publication scientifique qui répond aux normes scientifiques internationales. Il faut utiliser le modèle fournit par l’éditeur et écrire de manière simple, avec des phrases claires, construites, pas trop longues… »

Les références bibliographiques sont citées intégralement dans le dernier chapitre de la communication, par ordre alphabétique et lorsqu’un auteur est cité plusieurs fois par ordre chronologique.

Références bibliographiques

Blanche-Neige, M., Prof, N., Grincheux, G., Timide, T., & Sorcière, S. (2011, 20-21 juillet). La pomme dans la mythologie judéo-chrétienne. Paper presented at the 112e conférence internationale des héros de Walt Disney. In Actes du colloque (pp. 2323-2378). Disneyland Paris.

Dupond, D., & Dupont, T. (2007). Le rôle des policiers dans les aventures de Tintin. In T. Tintin (Eds.), Au pays des sciences (pp. 72-121). Bruxelles: Casterman.

Dupond, D., & Dupont, T. (2013). Réflexions sur l’ambiguïté de la dualité. Bruxelles: Casterman.

Martin, P. (2012). Activités ordinaires d’un enseignant en classe. Revue de didactique des activités ordinaires, 7(3), 123-157.


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