2022 : Colloque de Libreville au GABON

Appel à communications 

pour le 6ème Colloque International du RAIFFET

Éducation technologique, formation professionnelle

et nouveaux rapports aux savoirs

ENSET de LIBREVILLE (GABON)

4 au 8 juillet 2022

Préambule

Sous l’impulsion de l’ONU, au travers de l’adoption des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD), notamment l’OMD n°2 sur le développement de l’éducation de base, et de l’Unesco, au travers des objectifs de l’éducation pour tous (EPT), des progrès majeurs ont été accomplis (amélioration de l’accès à l’éducation, accroissement des taux de scolarisation, en particulier pour les filles). En Afrique subsaharienne, entre 1990 et 2015[1], le taux net ajusté de scolarisation dans l’enseignement primaire est passé de 52 à 80% alors que la population en âge d’être scolarisée augmentait de 86%.

Toutefois des disparités importantes persistent entre les régions du monde et/ou au sein des pays eux-mêmes. Comme le montre une étude conduite entre 2006 et 2012, seulement trois élèves sur cinq achèvent le cycle de l’école primaire. La pauvreté, le genre, le lieu de résidence, la langue maternelle, l’origine ethnique, les handicaps…, constituent des facteurs importants de disparité de la scolarisation des enfants potentiellement scolarisables. En Afrique subsaharienne, seulement 23 % des filles pauvres et vivant en zone rurale terminent leur éducation primaire[2]. Sous l’effet souvent conjoint de ces facteurs, certains enfants ne sont pas encouragés à aller à l’école et, lorsqu’ils y vont, ne sont pas non plus encouragés à progresser et à persévérer dans leurs apprentissages.

[1] Rapport de 2015 Objectifs du Millénaire pour le Développement des Nations Unis : https://www.un.org/fr/millenniumgoals/reports/2015/pdf/rapport_2015.pdf

[2] Rapport de 2014 Objectifs du Millénaire pour le Développement des Nations Unis : https://www.un.org/fr/millenniumgoals/reports/2014/pdf/MDG_report2014_FR.pdf

Avec l’adoption en 2015 des nouveaux Objectifs mondiaux de Développement Durable (ODD) poursuit la dynamique engagée avec les OMD, notamment en matière d’éducation avec l’objectif 4 sur l’éducation qui vise à « Assurer à tous une éducation équitable, inclusive et de qualité et des possibilités d’apprentissage tout au long de la vie ». Cette ambition affichée dépasse le cadre de développement de l’éducation de base qui était assigné à l’OMD n°2 en s’inscrivant dans une portée plus large, plus globale et plus ambitieuse.

Il promeut l’ambition de « l’éducation de qualité », du préscolaire à l’université, incluant l’Enseignement et la Formation Techniques et Professionnelles (EFTP) et l’éducation non formelle. En ce sens, il constitue un élément pivot contribuant directement à la réalisation de l’ensemble des autres ODD. Les objectifs quantitatifs restent la priorité mais l’introduction de la qualité prônée par le Cadre d’action 2030 d’Inchéon invite l’ensemble des acteurs de l’éducation à recentrer leurs efforts sur la qualité de l’enseignement, de l’apprentissage et sur l’acquisition des compétences. Trois niveaux d’action sont alors envisagés :

  • Au niveau des politiques éducatives notamment par les réformes des curricula pour permettre l’acquisition de connaissances, de compétences, de valeurs et d’attitudes dont tous les enfants, les jeunes et les adultes ont ou auront besoin pour devenir des participants actifs de la transformation des sociétés dans lesquelles ils vivent ; 
  • Au niveau de l’apprentissage qui doit permettre la maîtrise des connaissances de base (lire, écrire, compter, raisonner) dans une perspective de poursuite d’études et/ou la construction d’un avenir socioprofessionnel ;
  • Au niveau de la formation des enseignants qui doit permettre à chaque enseignant d’exercer son métier dans les meilleures conditions et de développer ses savoirs et ses compétences professionnelles.

Ces trois niveaux d’action vont conjointement et organisent le rôle de l’École (qu’elle qu’en soit sa forme, son niveau, ses attentes…) en organisant les processus d’enseignement-apprentissage : une École n’existe que parce qu’une institution politique décide qu’une institution enseignante va transmettre des savoirs institués à des élèves. De fait, il y a conjonction d’un ensemble d’interactions qui institue le rapport au savoir des élèves dans le cadre scolaire, qui est un cadre particulier, différent du cadre familial ou du cadre social de proximité.

Dans leurs formes traditionnelles, les écoles organisées, structurées et développées par les pays européens (et plus largement les pays occidentaux) ont servi de modèles pour le développement de nombreux systèmes éducatifs, notamment dans les pays du Sud, et très souvent dans une organisation imposée par les politiques coloniales. Ces formes traditionnelles induisent des rapports au savoir verticaux – Le maître sait et enseigne aux élèves qui ne savent pas dans un rapport où le savoir fait autorité et où le maître impose cette autorité en le faisant sien.

De nombreux travaux de psychologues, de pédagogues, de sociologues, de didacticiens…, ont étudié ces formes de rapport au savoir ; ils ont remis en cause ces modes de transmission qui apparaissent inefficaces, voire même contre productifs. C’est par la formation des enseignants, en proposant des organisations curriculaires qui s’appuient sur le développement, notamment cognitif, des enfants et des adolescents et en mettant en avant des organisations pédagogiques favorisant ce développement que l’on fait évoluer profondément les organisations scolaires et leur efficacité en matière d’apprentissage des savoirs.

Sous l’influence de la généralisation des technologies numériques mais également en raison de la massification de l’accès à l’éducation et à l’accroissement des attentes sociales pour une École inclusive, bienveillante, porteuse des espoirs d’offrir des débouchés socio-professionnels, les modes d’accès aux savoirs évoluent et entraînent une modification importante des rapports au savoir dans le cadre des institutions scolaires. 

Par exemple, l’accès à des bases de données de plus en plus massives met à la portée de chacune et chacun des bases de connaissances quasiment illimitées et bien au-delà de ce que pouvait apporter les manuels scolaires, lorsqu’ils étaient disponibles dans les écoles. Autre exemple, le recours à des applications de simulation permet de faire entrer dans les salles de classes des dispositifs de travaux pratiques très sophistiqués qui sont largement inaccessibles dans leur version matérielle. On pourrait encore multiplier les exemples qui découlent de ces évolutions ; cet accès facile, cette disponibilité, cet accroissement des potentiels ne se traduit pas pour autant systématiquement par une modification des organisations pédagogiques et le modèle transmissif frontal reste encore largement privilégié. Ainsi, la confrontation entre une École de la tradition et une École du changement n’a jamais été aussi forte et les tensions qui en découlent invitent chacune et chacun à s’interroger sur les formes scolaires que doivent prendre nos organisations de transmission des savoirs.

C’est dans cette perspective de débattre de ce que ces nouveaux rapports au savoir produisent comme évolution de nos organisations scolaires, que ce soit au travers des politiques éducatives élaborées et mises en œuvre, de l’évolution des processus d’enseignement-apprentissage qui organisent les interactions élève, enseignant, savoir ou encore des organisations de formation des enseignants afin de préparer ces professionnels aux évolutions de leur métier que s’inscrit le 6ème colloque du RAIFFET auquel nous vous convions. 

Thèmes du colloque

Ce sixième colloque sera l’occasion de confronter les points de vue sur cette question des nouveaux rapports aux savoirs qu’il s’agisse de regarder cette question au niveau de l’école de base dans le cadre de l’éducation pour tous (EPT), dans celui de l’éducation et la formation technologique et professionnelle (EFTP) ou dans celui de la formation des professionnels de l’enseignement. Il s’agit donc de nous interroger sur la manière dont les nouveaux rapports aux savoirs sont construits selon 3 axes : 

Axe 1 — Politiques éducatives et nouveaux rapports aux savoirs

Ce premier axe interroge l’impact des politiques éducatives sur les organisations scolaires et de formation, tout particulièrement dans les domaines de l’éducation scientifique, technologique et professionnelle. Dans ce thème, les propositions s’attacheront à présenter des expérimentations ou des travaux qui visent à apprécier, voire de mesurer les effets de telle ou telle décision politique sur la question de l’éducation pour tous, qu’il s’agisse de l’accès à la culture scientifique et technologique, de l’inclusion scolaire, d’une meilleure articulation formation-emploi ou encore de la formation des enseignants pour leur permettre de mettre en place un enseignement de qualité.

Axe 2 : Enseigner – apprendre et nouveaux rapports aux savoirs

Ce deuxième axe interroge les conditions d’organisation des situations d’enseignement susceptibles de favoriser l’appropriation de connaissances ou de compétences par les enfants, les adolescents ou les adultes. Dans ce thème, les propositions s’attacheront à présenter des expérimentations ou des travaux de recherches qui visent à caractériser l’efficacité du système didactique au travers de l’analyse de ce que l’enseignant enseigne et de ce que les élèves apprennent. Autrement dit, en quoi les organisations mises en œuvre par l’enseignant favorisent ou desservent les possibilités d’accès aux savoirs de chacune et chacun des individus qui composent la diversité des apprenants ? Cette question sera également l’occasion d’engager une réflexion sur le rôle de la formation initiale et continue des enseignants pour penser l’efficacité de ces organisations.

Axe 3 : Technologies de l’information et de la communication et nouveaux rapports aux savoirs

Ce troisième axe interroge le rôle des Technologies de l’Information et de la Communication dans le processus d’enseignement-apprentissage. La généralisation de l’usage du numérique induit de nouvelles formes de rapport aux savoirs des acteurs dont le choix et l’organisation vont être déterminants en matière d’efficacité des apprentissages. Dans cette perspective, analyser le rôle de ces outils qui instrumentent les activités des apprenants et des enseignants vise à comprendre et expliquer les effets de leur intégration dans le processus d’enseignement-apprentissage. Ce thème sera l’occasion de répondre à de nombreux questionnements en matière d’évolution pédagogique dans l’enseignement scientifique, technologique et professionnel. Il s’agira de s’intéresser à la fois à l’efficacité didactique, c’est-à-dire à ce que l’activité instrumentée permet aux formés (élèves, étudiants, stagiaires, …) d’apprendre et de développer comme compétences, et à la fois au renouvellement des pratiques des enseignants (et donc sur la formation initiale et continue).

Objectifs du Colloque

Ce colloque doit favoriser les échanges entre partenaires et surtout entre les participants. Il n’est pas le seul rendez-vous institutionnel mais il est l’occasion de développer des coopérations scientifiques, de promouvoir les pratiques innovantes et de contribuer à la professionnalisation des acteurs. Cette formation à et par la recherche en éducation participe de la professionnalisation de l’ensemble des partenaires du réseau. Il est l’occasion de diffuser des résultats des recherches conduites dans le domaine de l’éducation scientifique et technologique et de la formation professionnelle, d’échanger sur les innovations, vecteur du développement des sociétés, de favoriser la construction de futurs programmes communs et de soutenir la publication scientifique afin de valoriser les recherches conduites au-delà de nos réseaux locaux.

Par ailleurs, il vise à accompagner les doctorants et post-doctorants dans une démarche de communications et de publications scientifiques.

Prix ≪ Jeune Chercheur Jacques GINESTIÉ ≫

Lors de chacun de ses colloques, le RAIFFET décerne le Prix  ≪ Jeune Chercheur Jacques GINESTIÉ ≫. Ce prix vise à remarquer le travail d’un jeune chercheur engagé récemment dans la recherche.

Les critères retenus concernent la qualité de la production scientifique, l’originalité des travaux conduits, ainsi que l’intérêt et la portée sociale pour le développement de l’éducation, notamment en Afrique.

Peuvent candidater tous les doctorants ou jeunes docteurs (ayant soutenu leur thèse entre 2018 et 2020), sans aucune condition de nationalité, de langue de rédaction des travaux scientifiques ou de pays dans lequel les travaux ont été réalisés.

Pour pouvoir candidater, les personnes intéressées doivent déposer en plus de leur communication au colloque :

  • Un Curriculum Vitae détaillé (quatre pages maximum, détaillant les activités d’enseignement, les activités de recherche et les responsabilités exercées) 
  • La liste des publications scientifiques produites par le candidat et distinguant les articles, les ouvrages et les chapitres d’ouvrages, les communications dans des colloques (en précisant si ces communications sont publiées ou non dans des actes). La liste sera fournie à la norme APA 6th.

Le Prix  ≪ Jeune Chercheur Jacques GINESTIÉ ≫ est remis aux lauréats lors de la soirée de Gala.

2022 6th International RAIFFET Symposium Libreville (GABON)

Call for papers for the

6th International RAIFFET Symposium

Technological Education, vocational training

and new relationships with knowledge

Libreville (GABON)

4 au 8 July 2022

Faced with the uncertainties of the current pandemic crisis and security constraints the Organizing Committee has decided to postpone the holding of the 6th RAIFFET symposium to the period 11 to 15 April 2022 in Libreville, GABON.

Preamble

At the instigation of the United Nations, through the adoption of the Millennium Development Goals (MDGs), in particular MDG n ° 2 on the development of basic education, and of UNESCO, through the education for all (EFA) goals, major progress has been made (improved access to education, increased enrolment rates, especially for girls). In sub-Saharan Africa, between 1990 and 2015, the adjusted net enrolment rate in primary education increased from 52% to 80% while the school-age population increased by 86%.

However, significant disparities persist between regions of the world and / or within countries themselves. As a study conducted between 2006 and 2012 shows, only three in five pupils complete primary school. Poverty, gender, place of residence, mother tongue, ethnic origin, handicaps, etc., constitute major factors in the disparity in the education of children who may be eligible for schooling. In sub-Saharan Africa, only 23% of poor girls living in rural areas complete their primary education. Often under the combined effect of these factors, some children are not encouraged to go to school and, when they do, are not encouraged to progress and persevere in their learning either.

[1] United Nations Millennium Development Goals 2015 Report:

https://www.un.org/en/millenniumgoals/reports/2015/pdf/rapport_2015.pdf

[2] 2014 Millennium Development Goals Report United Nations Development: https://www.un.org/fr/millenniumgoals/reports/2014/pdf/MDG_report2014_FR.pdf

With the adoption in 2015 of the new Global Sustainable Development Goals (SDGs) the momentum started with the MDGs continues, particularly in terms of education with objective 4 on education which aims to “Ensure equitable, inclusive and quality education and lifelong learning opportunities for all”. This ambition goes beyond the framework for the development of basic education which was assigned to MDG 2 by falling within a broader, more global and more ambitious scope.

It promotes the ambition of “quality education”, from preschool to university, including Technical and Vocational Education and Training (TVET) and non-formal education. In this sense, it constitutes a pivotal element contributing directly to the achievement of all the other SDGs. The quantitative objectives remain the priority but the introduction of the quality advocated by Inchéon’s 2030 Framework for Action invites all education stakeholders to refocus their efforts on the quality of teaching and learning and on the acquisition of skills. Three levels of action are therefore envisaged :

  • At the level of educational policies, in particular through curriculum reforms to enable the acquisition of knowledge, skills, values ​​and attitudes which all children, young people and adults need or will need to become active participants in the transformation of the societies in which they live;
  • At the level of learning which must allow the mastery of basic knowledge (reading, writing, counting, reasoning) with a view to continuing studies and / or building a socio-professional future;
  • At the level of teacher training which should allow each teacher to exercise their profession in the best conditions and develop their knowledge and professional skills.

These three levels of action go together and organize the role of the School (whatever its form, level, expectations, etc.) by organizing the teaching-learning processes: a School only exists because a political institution decides that an education institution will transmit established knowledge to students. In fact, there is a conjunction of a set of interactions which establishes the relationship with pupils’ knowledge within the school setting, which is a particular setting, different from the family setting or from the local social setting.

In their traditional forms, schools organized, structured and developed by European countries (and more generally Western countries) have served as models for the development of many education systems, particularly in countries of the South, and very often in an imposed organization through colonial policies. These traditional forms induce vertical relationships to knowledge; the teacher knows and teaches students who do not know in a relationship where knowledge is authoritative and where the teacher imposes this authority by making it his own.

Numerous works by psychologists, pedagogues, sociologists, didacticians, etc., have studied these forms of relation to knowledge; they questioned these modes of transmission which appear ineffective, and even counterproductive. It is through the training of teachers, by proposing curricular organizations which are based on the development, cognitive in particular, of children and adolescents and by putting forward educational organizations promoting this development that we make schooling organizations evolve profoundly including their effectiveness in the knowledge acquisition.

Under the influence of the generalization of digital technologies but also because of the massification of access to education and the increase in social expectations for an inclusive, benevolent school, bearing the hopes of offering socio-professional opportunities, modes of access to knowledge evolve and lead to a significant modification of the relationship to knowledge within the framework of educational institutions.

For example, access to increasingly massive databases puts virtually unlimited knowledge bases within everyone’s reach, and well beyond what textbooks could provide, when they were available in schools. Another example, the use of simulation applications makes it possible to bring very sophisticated practical work devices into classrooms which are largely inaccessible in their hardware version. We could still multiply the examples resulting from these developments; this easy access, this availability, this increase in potential does not necessarily translate into a change in educational organizations, and the top-bottom transmissive model is still largely favoured. Thus, the confrontation between a School of tradition and a School of change has never been so strong and the resulting tensions invite each and every one to question the school forms that our organizations should take for the transmission of knowledge.

It is in this perspective to debate what these new relationships to knowledge produce as the evolution of our school organizations, whether through the educational policies developed and implemented, the evolution of teaching-learning processes that organize interactions between student, teacher, knowledge or even teacher training organizations to prepare these professionals for changes in their profession.

Themes of the colloquium

This sixth colloquium will be an opportunity to confront opinions on this issue of new relations to knowledge, whether one considers this issue at the level of basic education within the framework of education for all (EFA), at that of technological and vocational education and training (TVET) or at the level of the training of teaching professionals. It is therefore a matter of questioning ourselves on the way in which new relations with knowledge are constructed along 3 axes:

Axis 1 – Educational policies and new relations with knowledge

This first axis questions the impact of educational policies on school and training organizations, especially in the fields of scientific, technological, and vocational education. In this theme, the proposals will focus on presenting experiments or works that aim to assess, or even measure the effects of a particular political decision on the issue of education for all, whether it is  » access to scientific and technological culture, inclusive education, better training-employment links or even teacher training to enable them to set up quality education”.

Axis 2: Teaching – learning and new relations with knowledge

This second axis examines the organizational conditions of teaching situations likely to promote the appropriation of knowledge or skills by children, adolescents, or adults. In this theme, the proposals will focus on presenting experiments or research work aimed at characterizing the effectiveness of the didactic system through the analysis of what the teacher teaches and what the students learn. In other words, how do organizations set up by the teacher promote or undermine the possibilities of access to knowledge by every one of the individuals who make up the diversity of learners? This question will also be the occasion to initiate a reflection on the role of the initial and continuing training of teachers in considering the effectiveness of these organizations.

Axis 3: Information and communication technologies and new relationships with knowledge

This third axis questions the role of Information and Communication Technologies in the teaching-learning process. The generalization of the use of digital technology induces new forms of relationship to knowledge of actors whose choice and organization will be decisive in terms of learning effectiveness. In this perspective, analysing the role of these tools that instrument the activities of learners and teachers aims to understand and explain the effects of their integration into the teaching-learning process. This theme will provide an opportunity to answer many questions regarding educational development in scientific, technological, and vocational education. It will be a question of being interested at the same time in didactic effectiveness, in what the instrumented activity allows the trainees (pupils, students, trainees, …) to learn and to develop as skills, as well as in the renewal of the practices of teachers (and thus on their initial and continuous training).

Objectives of the Colloquium

This colloquium should promote exchanges between partners and especially between participants. It is not the only institutional meeting, but it is an opportunity to develop scientific cooperation, promote innovative practices and contribute to the professionalization of actors. This training in and through educational research contributes to the professionalization of all the partners in the network. It is an opportunity to disseminate the results of research carried out in the field of scientific and technological education and vocational training, to discuss innovations, a vector for the development of societies, to promote the construction of future joint programs and to support scientific publication to promote research carried out beyond our local networks.

In addition, it aims to support doctoral and post-doctoral students in a process of communications and scientific publications.

“Jacques GINESTIÉ Young Researcher” Award

At each of its conferences, the RAIFFET grants the “Jacques GINESTIÉ Young Researcher” award. This award aims to recognize the work of a young researcher recently engaged in research.

The criteria adopted concern the quality of scientific production, the originality of the work carried out, as well as the interest and social scope for the development of education, particularly in Africa.

All doctoral students or young doctors (having defended their thesis between 2018 and 2021) can apply, without any condition of nationality, language of writing of scientific work or country in which the work was carried out.

To be able to apply, interested persons must submit in addition to their conference paper :

  • a detailed Curriculum Vitae (four pages maximum, detailing teaching activities, research activities and responsibilities exercised)
  • The list of scientific publications produced by the candidate and distinguishing between articles, books and book chapters, communications in conferences (specifying whether these communications are published or not in proceedings). The list will be provided following APA 6th standard.

The “Jacques GINESTIÉ Young Researcher” award is given to the winners during the Gala evening.

The President of RAIFFET,

Dr MOUITY Christian

Hélène CHENEVAL-ARMAND,

 President of the Scientific Committee of RAIFFET

 AIX MARSEILLE University

Programme du sixième colloque international du RAIFFET : Éducation Technologique, Formation professionnelle et nouveaux rapports aux savoirs du 4 au 8 juillet 2022ENSET de Libreville GABON

Lundi 4 juillet 2022 – Matin

08h30-09h30 :  Accueil des participants

09h30-09h45 : Installation des participants

10h00-11h00 : Cérémonie d’ouverture

11h00-11h30 : Photographie du groupe

11h30 : Cocktail

12h30-14h00 : Déjeuner

Lundi 4 juillet 2022 – Après-Midi

14h00-16h00 : Communications  session n° 1  Président : Emmanuel Moudouma

Présentations de 15 minutes et 15 minutes de questions

  • Fleur Nadine Ndjock – Ecole Supérieure des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication  (ESSTIC)  –  Cameroun : De la recherche documentaire à la recherche informationnelle. Quand la covid19 booste le changement de paradigme des pratiques informationnelles des étudiants de l’ESSTIC.
  • Julia Ndibnu-Messina & Catherine Awoundja Nsata – Ecole normale supérieure de Yaoundé (ENS)- Cameroun : Initiative francophone pour la formation à distance des maîtres (IFADEM) et l’éducation bi/plurilingue en Afrique subsaharienne : un exemple à partir des livrets d’apprentissage.
  • Abba Mariam & Théophile Calaïna – Université de Ngaoundéré – Cameroun : Modèle de formation continue des enseignants sur la terminologie des DNL.
  • Landry Ndoumatseyi Botongoye– Ecole Normale Supérieure de l’Enseignement Technique  (ENSET) – Gabon : Médiation des simulateurs pour l’apprentissage de l’activité de diagnostic automobile.

16h00-16h30 – Pause

16h30-19h00 : Communications à distance session n° 2  Président : Jean-Claude Bationo

Présentations de 10 minutes et 10 minutes de questions

  • Simon Pierre Tibiri – Ecole normale supérieure (ENS) Koudougou & Laboratoire de Psychopédagogie, Andragogie, Mesure et Évaluation, et Politiques Éducatives (LAPAME) – Burkina Faso : Encadrement des élèves-maîtres et développement professionnel des maîtres-conseillers: étude de cas dans la CEB de Boromo
  • Yaya Traore Institut National de Formation en Sciences de la Santé  (INFSS) – Mali & Afsata Pare/Kabore – Université Norbert Zongo (UNZ-) – Burkina Faso : L’approche par compétences (APC) dans la formation des étudiants en sciences de la santé au Mali : Analyse des pratiques pédagogique.
  • Karen Ferreira Meyers – University of Eswatini (UNESWA) – Eswatini : Faut-il que j’apprenne de nouvelles choses ? La formation des enseignants de FLE et l’intégration des compétences en TIC(E).
  • Paulin Mandoumou & Pascal Alain Leyinda & Euloge Moboza Ndongo – Institut Supérieur de l’Education Physique et Sportive, Université Marien NGOUABI (ISEPS)  –  Congo-Brazzaville : Influence de la formation initiale sur l’action didactique des enseignants d’EPS Congolais.
  • Mahamadi Zongo – Laboratoire Interdisciplinaire de Didactique des Discipline  (LABIDID) – Burkina Faso : Articulation entre formation théorique et stage pratique des élèves professeurs de sciences physiques de l’Ecole Normale Supérieure de Koudougou: état des lieux et perspectives.
  • Arnaud Tabakou Temayeu – Faculté des sciences de l’éducation  (FSE)  – Cameroun : Hybridation du dispositif d’enseignement apprentissage et performances en morphosyntaxe du FLE: cas des élèves de terminale au lycée bilingue de Nkol-Éto
  • Pascal Alain Leyinda – Institut Supérieur de l’Education Physique et Sportive, Université Marien NGOUABI (ISEPS)  –  Congo-Brazzaville : Plaidoyer pour une nouvelle théorie scientifique dans les curricula universitaires : La Praxéologie Motrice de Pierre Parlebas.

Mardi 5 juillet 2022 – Matin

09h00-10h30 : Communications session n° 3  Présidente : Maria Antonietta Impedovo

Présentations de 15 minutes et 15 minutes de questions

  • Ndibnu-Messina Julia – Ecole Normale Supérieure de l’Université de Yaoundé I  (ENS-UYI)- Cameroun, Cyrille Talla Sandeu & Hervé Talla – Faculté des arts, lettres et sciences humaines  (FALSH)- Cameroun, Jules Assoumou– FLSH, Université de Douala -Cameroun : TIC et construction des dictionnaires multilingues à but pédagogique en langues camerounaises : état de la question et perspectives dans les classes du primaire.
  • Ruth Eyang Nna & Médard Sylvain Ovono – École Normale Supérieure de l’Enseignement Technique (ENSET), LARETP – Gabon : Travaux Pratiques sur MS-Excel en communiquant via le réseau social WhatsApp à l’ENSET de Libreville.
  • Germaine Ilboudo & Christine Poplimont – Université d’Aix-Marseille Laboratoire ADEF EA 4671- France : L’accompagnement pédagogique des enseignants du primaire pivot de l’amélioration de la qualité de l’éducation au BF. Où en sommes-nous ?

10h30-11h00 – Pause-café

11h00-12h30 : Communications session n° 4 Président : Jérémy Castera

Présentations de 15 minutes et 15 minutes de questions

  • Ibrahima Guèye & Abdoulaye Kebe – Ecole Normale Supérieure d’Enseignement Technique et Professionnel / Université Cheikh Anta Diop (ENSETP / UCAD) –  Sénégal : Application du modèle KSRU dans une entreprise industrielle.
  • Mamadou Drame – Faculté des Sciences et Technologies de l’Education et de la Formation (FASTEF) – Sénégal : Dispositifs de formation, pratiques évaluatives des enseignants en production d’écrits et acquisition de compétences chez les élèves : l’APC en question.
  • Catherine Biloa Fouda – UNIVERSITÉ DE DOUALA (UDO) – Cameroun : Éducation à l’entrepreneuriat en milieu universitaire et engagement entrepreneurial des jeunes.

12h30-14h30 Pause-déjeuner

Mardi 5 juillet 2022 – Après-Midi

14h30-16h : Communications session n° 5 Présidente : Stéphanie Mailles Viard Metz

Présentations de 15 minutes et 15 minutes de questions

  • Tine Manvoutouka – ACTE (UGA)  – Laboratoire Pacte : UMR 5194 –  France : Activité, formation et développement en Afrique subsaharienne. Quelles conditions pour un dialogue égalitaire entre savoirs locaux et savoirs experts ?
  • Brou dieudonné Koffi – Institut National Supérieur des Arts et de l’Action Culturelle (INSAAC)  –  Côte d’Ivoire : Intégration de l’anglais dans la formation des doctorants des universités publiques ivoiriennes : contribution à un enseignement supérieur de qualité.
  • Bationo Jean-Claude – Ecole Normale Supérieure – Koudougou (ENS)- Burkina Faso : Les freins et les leviers de la transition école-collège : contribuer à la réalisation d’une éducation de base obligatoire au Burkina Faso

16h – 16h30- Pause

16h30-17h30 :  Table ronde sur le thème de “L’enseignement et la formation techniques et professionnels dans le monde »

Participants :

  • Huot-Marchand, Hervé (UNESCO)
  • Goundiam, Madi (MALI)
  • Bationo, Jean-Claude (BURKINA FASO)
  • Fasse Mbouya, Innocent (CAMEROUN)
  • Ondo Minto, Edgar (GABON)
  • Stéphanie Mailles Viard Metz (FRANCE)

17h30-18h30 : Assemblée générale du RAIFFET

Mercredi 6 juillet 2022 – Matin

09h00-10h30 : Communications session n° 6 Président : Fasse Mbouya Innocent

Présentations de 15 minutes et 15 minutes de questions

  • Sophie Charles – Bien-être, Organisations, Numérique, Habitabilité, Education, Universalité, Relation, Savoirs (BONHEURS)- France & Sylvain Luc Agbanglanon – Ecole normale supérieure d’Enseignement technique et professionnel / Université Cheikh Anta Diop (ENSETP / UCAD)- Sénégal : Difficultés liées aux tests spatiaux chez les étudiants : une comparaison franco-sénégalaise.
  • Victorien Nkamgnia – Bien-être, Organisations, Numérique, Habitabilité, Éducation, Universalité, Relations, Savoirs (BONHEURS) – France : Simulation informatique et formation classique : cas des travaux pratiques d’automatisme au secondaire technique industriel au Cameroun.
  • Ousseni Mfifen Moluh et Ndibnu-Messina Julia – Ecole Normale Supérieure de Yaoundé (ENS)– Cameroun : La formation à distance et le développement de l’enseignement supérieur: une évaluation de la contribution de l’AUF au Cameroun.

10h30-11h – Pause-café

11h-12h30 : Communications  session n° 7  Président : Christian Mouity

Présentations de 15 minutes et 15 minutes de questions

  • Constantine Kouankem – École Normale Supérieure de Bertoua Université de Ngaoundéré – Cameroun & Julia Ndibnu-Messina Ecole Normale Supérieure de Yaoundé (ENS)- Cameroun : Dispositifs d’autoformation en période post-covid dans les lycées camerounais
  • Amadou Diop & Hélène Cheneval-Armand & Jeremy Castera & Mailles-Viard Metz Stéphanie – Université d’Aix-Marseille Laboratoire ADEF EA 4671- France : impact des espaces d’apprentissage-capacitants-innovants sur les processus cognitifs associés à la créativité des étudiants : le cas du CIPE d’Aix Marseille Université.
  • Salemon Brice Nnemete – Ecole Normale Supérieure de l’Enseignement Technique de Douala  (ENSET de Douala) – Cameroun : Effets de l’intégration de l’APC comme nouvelle forme de savoir sur les acteurs de la négociation didactique.

12h30-14h30 Pause-déjeuner

Mercredi 6 juillet 2022 – Après-Midi

14h30-16h00 : Communications session n° 8 Président : Innocent Mbouya Fassé

Présentations de 15 minutes et 15 minutes de questions

  • Atouba Akame Christelle & Rodrigue Cheumadjeu Tchouaga – FSE, Université de Yaoundé I, – Cameroun & Ndibnu-Messina Julia – Ecole Normale Supérieure de Yaoundé (ENS)– Cameroun : L’accompagnement numérique des lycéennes en formation professionnelle : état des lieux et perspectives.
  • Maria Antonietta Impedovo & Marjolaine Chatoney & Brice Le Roux – Université d’Aix-Marseille Laboratoire ADEF EA 4671- France : Les robots dans le processus de formation et d’enseignement.
  • Judith Audrey Kapche Wabo & Julia Ndibnu-Messina & Ethé gabriel MBA  (ACETELACH) – Cameroun : De l’analyse critique des tensions entre le curriculum prescrit, enseigné et appris: etude de cas des cours de french de « form one » du lycée bilingue d’Emana

16h00-16h30 – Pause

16h30-19h00 : à distance session n° 9 Présidente : Stéphanie Mailles Viard Metz

Présentations de 10 minutes et 10 minutes de questions

  • Timbila Sawadogo et Wendyam Ilboudo– Ecole Normale Supérieure de Koudougou  (ENSK)  –  Burkina Faso : Formation des enseignants de génie civil : Place des mathématiques comme discipline de service.
  • Ernestine Ngo Melha  1 – Groupe de recherche sur le handicap, l’accessibilité et les pratiques éducatives et scolaires (GRHAPES, EA 7287) – France : L’inclusion scolaire des élèves en situation de handicap en France et au Cameroun : une analyse de la politique nationale à partir des perceptions des enseignants.
  • Mouhoubi Nedjima – Laboratoire Santé, Société et Urbanité  (LASSU) – Algérie : Rôle de l’université dans le montage du projet professionnel de l’étudiant : exemples internationaux et analyse du cas Algérien.
  • David Guenez et Abdelkarim Zaid – Centre Interuniversitaire de Recherche en Education de Lille  (CIREL)  – France : L’Innovation technologique Responsable : un organisateur curriculaire possible de l’enseignement technologique ?
  • Hervé Toussaint Ondoua – Ecole Normale Supérieure de Bertoua-Université de Bertoua- Cameroun : Nouveau paradigme éducatif et nouveaux rapports aux savoirs : Le système LMD et la question de la recherche scientifique dans les Universités d’Afrique.
  • Paul Marie Kougang – Paule Marie Kougang – Association des chercheurs en technologie éducative, langues, cultures et humanités et Université de Buea  (ACETELACH)  –  Cameroun : TIC et apprentissage du français à l’Université de Buea.
  • Mangawindin Guy Romuald Ouedraogo – Ecole Normale Supérieure, Université Norbert ZONGO  (ENS-UNZ)  –  Burkina Faso : Syndicalisme et éthique professionnelle : quelle part dans la formation des enseignants.
  • Bapindié Ouattara – IFOAD/UNIVERSITE OUAGA II  (IFOAD/UO2)  –  IFOAD/UNIVERSITE OUAGA II –  Burkina Faso : L’influence du tutorat et de la taille des équipes sur la performance des étudiants au certificat de compétences en informatique et internet en ligne de l’Université Ouaga II

Jeudi 7 juillet 2022 – Matin

09h00-10h30 : Communications session n° 10  Président : Jean-Claude Bationo

Présentations de 15 minutes et 15 minutes de questions

  • OBONO MBA Anasthasie épouse ESSONO – Laboratoire de Recherche en Éducation (LARED) Ecole Normale Supérieure de Libreville – Gabon : Les systèmes éducatifs des pays d’Afrique francophone à l’heure du numérique. Quel avenir pour les manuels scolaires ?
  • Pierre Baligue Diouf – Institut des sciences de l’éducation – Chaire Unesco en sciences de l’éducation (ISE-CUSE) Faculté des Sciences et Technologies de l’Éducation et de la Formation (FASTEF) Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD)- Sénégal : Mise en œuvre d’un objet d’enseignement : cas de la fermentation du lait.
  • Jeannot Engone – École Normale des Instituteurs et Institut Pédagogique National (ENI et IPN)  – Gabon : La problématique de l’interrelation école et famille au Gabon : Une étude sociologique du rapport aux savoirs sous-tendue par l’appropriation acquisitionnelle chez l’enfant scolarisé en situation de diglossie.

10h30-11h00 – Pause-café

11h00-12h00 : Communication  session n° 11  Président : Hélène Cheneval-Armand

Présentations de 15 minutes et 15 minutes de questions

  • Nicolas Nguessan Lavri – laboratoire des Etudes et de la Prévention en Psychologie de l’Éducation (LEPPE) – Côte d’Ivoire : Perceptions et attentes des acteurs dans l’organisation efficace des stages de formation en entreprises, le cas du Lycée Professionnel de Jacqueville.
  • Abou Fofana– Groupe interdisciplinaire de recherche sur les pratiques enseignantes (GIRPE) – Côte d’Ivoire : Rapport aux savoirs mathématiques dans les classes littéraires : analyse didactique des contenus et des pratiques enseignantes.
  • Rolie Nsi Be Laboratoire recherche de l’enseignement technique et professionnel  (LARETP) – Gabon : La formation des formateurs pour le secteur bois par la mise en place du programme Genie bois à l’ENSET de Libreville

12h00-14h Pause-déjeuner

Jeudi 7 juillet – Après-Midi

14h00-15h00 : ATELIER RAIFFET

Jérémy Castera Université Aix-Marseille : Analyse quantitative des données de recherche : Introduction au logiciel statistique R. Cet atelier est une introduction aux analyses statistiques de base utilisant le logiciel R (logiciel gratuit). Une interface conviviale pour les débutants sera installée sur R-commander. Par conséquent, vous n’avez pas besoin de compétences en programmation pour participer à cette session de formation. Les caractéristiques de base de R-commander seront examinées (importation de données, gestion de variables, etc.) et certaines analyses descriptives et inférentielles seront abordées (moyennes, écart type, test de Wilcoxon…).

15h00-18h00 : à distance session n°12   Présidente : Maria Antonietta Impedovo

Présentations de 10 minutes et 10 minutes de questions

  • Yaya Traore & Diara Abdoul – Institut National de Formation en Sciences de la Santé (INFSS Bamako)  –  Mali & Nguéssan Djedje – Université Félix Houphoet-Boigny- Côte d’Ivoire : Impacts des pratiques pédagogiques sur l’acquisition des compétences chez les étudiantes des écoles privées de santé de la ville de Kati au Mali.
  • Chris Poppel Louyindoula Bangana Yiya et Virginie Kouyimoussou – Université Marien Ngouabi (UMNG)  – Congo-Brazzaville : L’usage des TIC par les enseignants du primaire dans le processus de préparation de la classe.
  • Hamidou Baïbavou – Département de Français, Laboratoire LADYRUS (Langues, Dynamiques et Usages) Université de Ngaoundéré – Cameroun : Analyse conversationnelle entre l’enseignant et les apprenants francophones de elementary B dans l’apprentissage des nouvelles connaissances en englais via le cours vidéo au centre linguistique régional de Ngaoundéré.
  • Babacar Biteye – Laboratoire de Recherche sur les Systèmes Éducatifs (LaRSEd)  –  Sénégal : Réception de l’offre pédagogique en temps de COVID-19 : les étudiants et le distanciel pédagogique.
  • Fritz Marc Nta Akouan A Nta & Essono Paul Charly – Ecole Normale Supérieur de l’enseignement Technique de Douala (ENSET de Douala)  –  Cameroun : Intégration des TIC dans le processus d’enseignement apprentissage : relâchement des apprenants en FOAD à l’AUF et déficit dans la négociation didactique.
  • Fritz Marc Nta Akouan A Nta – Ecole Normale Supérieur de l’enseignement Technique de Douala (ENSET de Douala)  –  Cameroun : Effets de l’intégration de l’audiovisuel dans les méthodes d’animation des AFO sur l’attitude des élèves. Expérimentation au LTN.
  • Bernard Dadié Mache – CY Cergy Paris Université (CY) – France : La classe inversée en période COVID 19 : entre préconisations officielles et réalités du terrain.
  • Virginie Kouyimoussou et Chris Poppel Louyindoula Bangana Yiya – – Université Marien Ngouabi (UMNG)  – Congo-Brazzaville : Les défis liés à l’intégration pédagogique des TIC dans la formation initiale des inspecteurs et son l’impact sur les pratiques professionnelles des inspecteurs en fonction.

20h REPAS DE GALA

Vendredi 8 juillet 2022 – Matin

Cérémonie de remise des diplômes des 30 inspecteurs en formation à l’INSPÉ d’Aix Marseille Université

10h30-11h00 – Pause-café

Synthèse du colloque et conclusion

12h00-14h Pause-déjeuner

Vendredi 8 juillet 2022 – Après-Midi

Cérémonie de clôture et remise des Prix « Jeunes chercheurs Jacques GINESTIÉ»

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