Comme suite aux évènements le colloque du RAIFFET prévu en 2021 à KOUDOUGOU au BURKINA FASO est annulé et se tiendra à l’ENSET de LIBREVILLE au GABON du 11 au 15 avril 2022.
Il rendra hommage au co-fondateur du RAIFFET Jacques GINESTIÉ.
Appel à communications
pour le 6ème Colloque International du RAIFFET
Éducation technologique, formation professionnelle
et nouveaux rapports aux savoirs
Koudougou (BURKINA FASO)
octobre 2021
Préambule
Sous l’impulsion de l’ONU, au travers de l’adoption des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD), notamment l’OMD n°2 sur le développement de l’éducation de base, et de l’Unesco, au travers des objectifs de l’éducation pour tous (EPT), des progrès majeurs ont été accomplis (amélioration de l’accès à l’éducation, accroissement des taux de scolarisation, en particulier pour les filles). En Afrique subsaharienne, entre 1990 et 2015[1], le taux net ajusté de scolarisation dans l’enseignement primaire est passé de 52 à 80% alors que la population en âge d’être scolarisée augmentait de 86%.
Toutefois des disparités importantes persistent entre les régions du monde et/ou au sein des pays eux-mêmes. Comme le montre une étude conduite entre 2006 et 2012, seulement trois élèves sur cinq achèvent le cycle de l’école primaire. La pauvreté, le genre, le lieu de résidence, la langue maternelle, l’origine ethnique, les handicaps…, constituent des facteurs importants de disparité de la scolarisation des enfants potentiellement scolarisables. En Afrique subsaharienne, seulement 23 % des filles pauvres et vivant en zone rurale terminent leur éducation primaire[2]. Sous l’effet souvent conjoint de ces facteurs, certains enfants ne sont pas encouragés à aller à l’école et, lorsqu’ils y vont, ne sont pas non plus encouragés à progresser et à persévérer dans leurs apprentissages.
[1] Rapport de 2015 Objectifs du Millénaire pour le Développement des Nations Unis : https://www.un.org/fr/millenniumgoals/reports/2015/pdf/rapport_2015.pdf
[2] Rapport de 2014 Objectifs du Millénaire pour le Développement des Nations Unis : https://www.un.org/fr/millenniumgoals/reports/2014/pdf/MDG_report2014_FR.pdf
Avec l’adoption en 2015 des nouveaux Objectifs mondiaux de Développement Durable (ODD) poursuit la dynamique engagée avec les OMD, notamment en matière d’éducation avec l’objectif 4 sur l’éducation qui vise à « Assurer à tous une éducation équitable, inclusive et de qualité et des possibilités d’apprentissage tout au long de la vie ». Cette ambition affichée dépasse le cadre de développement de l’éducation de base qui était assigné à l’OMD n°2 en s’inscrivant dans une portée plus large, plus globale et plus ambitieuse.
Il promeut l’ambition de « l’éducation de qualité », du préscolaire à l’université, incluant l’Enseignement et la Formation Techniques et Professionnelles (EFTP) et l’éducation non formelle. En ce sens, il constitue un élément pivot contribuant directement à la réalisation de l’ensemble des autres ODD. Les objectifs quantitatifs restent la priorité mais l’introduction de la qualité prônée par le Cadre d’action 2030 d’Inchéon invite l’ensemble des acteurs de l’éducation à recentrer leurs efforts sur la qualité de l’enseignement, de l’apprentissage et sur l’acquisition des compétences. Trois niveaux d’action sont alors envisagés :
- Au niveau des politiques éducatives notamment par les réformes des curricula pour permettre l’acquisition de connaissances, de compétences, de valeurs et d’attitudes dont tous les enfants, les jeunes et les adultes ont ou auront besoin pour devenir des participants actifs de la transformation des sociétés dans lesquelles ils vivent ;
- Au niveau de l’apprentissage qui doit permettre la maîtrise des connaissances de base (lire, écrire, compter, raisonner) dans une perspective de poursuite d’études et/ou la construction d’un avenir socioprofessionnel ;
- Au niveau de la formation des enseignants qui doit permettre à chaque enseignant d’exercer son métier dans les meilleures conditions et de développer ses savoirs et ses compétences professionnelles.
Ces trois niveaux d’action vont conjointement et organisent le rôle de l’École (qu’elle qu’en soit sa forme, son niveau, ses attentes…) en organisant les processus d’enseignement-apprentissage : une École n’existe que parce qu’une institution politique décide qu’une institution enseignante va transmettre des savoirs institués à des élèves. De fait, il y a conjonction d’un ensemble d’interactions qui institue le rapport au savoir des élèves dans le cadre scolaire, qui est un cadre particulier, différent du cadre familial ou du cadre social de proximité.
Dans leurs formes traditionnelles, les écoles organisées, structurées et développées par les pays européens (et plus largement les pays occidentaux) ont servi de modèles pour le développement de nombreux systèmes éducatifs, notamment dans les pays du Sud, et très souvent dans une organisation imposée par les politiques coloniales. Ces formes traditionnelles induisent des rapports au savoir verticaux – Le maître sait et enseigne aux élèves qui ne savent pas dans un rapport où le savoir fait autorité et où le maître impose cette autorité en le faisant sien.
De nombreux travaux de psychologues, de pédagogues, de sociologues, de didacticiens…, ont étudié ces formes de rapport au savoir ; ils ont remis en cause ces modes de transmission qui apparaissent inefficaces, voire même contre productifs. C’est par la formation des enseignants, en proposant des organisations curriculaires qui s’appuient sur le développement, notamment cognitif, des enfants et des adolescents et en mettant en avant des organisations pédagogiques favorisant ce développement que l’on fait évoluer profondément les organisations scolaires et leur efficacité en matière d’apprentissage des savoirs.
Sous l’influence de la généralisation des technologies numériques mais également en raison de la massification de l’accès à l’éducation et à l’accroissement des attentes sociales pour une École inclusive, bienveillante, porteuse des espoirs d’offrir des débouchés socio-professionnels, les modes d’accès aux savoirs évoluent et entraînent une modification importante des rapports au savoir dans le cadre des institutions scolaires.
Par exemple, l’accès à des bases de données de plus en plus massives met à la portée de chacune et chacun des bases de connaissances quasiment illimitées et bien au-delà de ce que pouvait apporter les manuels scolaires, lorsqu’ils étaient disponibles dans les écoles. Autre exemple, le recours à des applications de simulation permet de faire entrer dans les salles de classes des dispositifs de travaux pratiques très sophistiqués qui sont largement inaccessibles dans leur version matérielle. On pourrait encore multiplier les exemples qui découlent de ces évolutions ; cet accès facile, cette disponibilité, cet accroissement des potentiels ne se traduit pas pour autant systématiquement par une modification des organisations pédagogiques et le modèle transmissif frontal reste encore largement privilégié. Ainsi, la confrontation entre une École de la tradition et une École du changement n’a jamais été aussi forte et les tensions qui en découlent invitent chacune et chacun à s’interroger sur les formes scolaires que doivent prendre nos organisations de transmission des savoirs.
C’est dans cette perspective de débattre de ce que ces nouveaux rapports au savoir produisent comme évolution de nos organisations scolaires, que ce soit au travers des politiques éducatives élaborées et mises en œuvre, de l’évolution des processus d’enseignement-apprentissage qui organisent les interactions élève, enseignant, savoir ou encore des organisations de formation des enseignants afin de préparer ces professionnels aux évolutions de leur métier.
Thèmes du colloque
Ce sixième colloque sera l’occasion de confronter les points de vue sur cette question des nouveaux rapports aux savoirs qu’il s’agisse de regarder cette question au niveau de l’école de base dans le cadre de l’éducation pour tous (EPT), dans celui de l’éducation et la formation technologique et professionnelle (EFTP) ou dans celui de la formation des professionnels de l’enseignement. Il s’agit donc de nous interroger sur la manière dont les nouveaux rapports aux savoirs sont construits selon 3 axes :
Axe 1 — Politiques éducatives et nouveaux rapports aux savoirs
Ce premier axe interroge l’impact des politiques éducatives sur les organisations scolaires et de formation, tout particulièrement dans les domaines de l’éducation scientifique, technologique et professionnelle. Dans ce thème, les propositions s’attacheront à présenter des expérimentations ou des travaux qui visent à apprécier, voire de mesurer les effets de telle ou telle décision politique sur la question de l’éducation pour tous, qu’il s’agisse de l’accès à la culture scientifique et technologique, de l’inclusion scolaire, d’une meilleure articulation formation-emploi ou encore de la formation des enseignants pour leur permettre de mettre en place un enseignement de qualité.
Axe 2 : Enseigner – apprendre et nouveaux rapports aux savoirs
Ce deuxième axe interroge les conditions d’organisation des situations d’enseignement susceptibles de favoriser l’appropriation de connaissances ou de compétences par les enfants, les adolescents ou les adultes. Dans ce thème, les propositions s’attacheront à présenter des expérimentations ou des travaux de recherches qui visent à caractériser l’efficacité du système didactique au travers de l’analyse de ce que l’enseignant enseigne et de ce que les élèves apprennent. Autrement dit, en quoi les organisations mises en œuvre par l’enseignant favorisent ou desservent les possibilités d’accès aux savoirs de chacune et chacun des individus qui composent la diversité des apprenants ? Cette question sera également l’occasion d’engager une réflexion sur le rôle de la formation initiale et continue des enseignants pour penser l’efficacité de ces organisations.
Axe 3 : Technologies de l’information et de la communication et nouveaux rapports aux savoirs
Ce troisième axe interroge le rôle des Technologies de l’Information et de la Communication dans le processus d’enseignement-apprentissage. La généralisation de l’usage du numérique induit de nouvelles formes de rapport aux savoirs des acteurs dont le choix et l’organisation vont être déterminants en matière d’efficacité des apprentissages. Dans cette perspective, analyser le rôle de ces outils qui instrumentent les activités des apprenants et des enseignants vise à comprendre et expliquer les effets de leur intégration dans le processus d’enseignement-apprentissage. Ce thème sera l’occasion de répondre à de nombreux questionnements en matière d’évolution pédagogique dans l’enseignement scientifique, technologique et professionnel. Il s’agira de s’intéresser à la fois à l’efficacité didactique, c’est-à-dire à ce que l’activité instrumentée permet aux formés (élèves, étudiants, stagiaires, …) d’apprendre et de développer comme compétences, et à la fois au renouvellement des pratiques des enseignants (et donc sur la formation initiale et continue).
Objectifs du Colloque
Ce colloque doit favoriser les échanges entre partenaires et surtout entre les participants. Il n’est pas le seul rendez-vous institutionnel mais il est l’occasion de développer des coopérations scientifiques, de promouvoir les pratiques innovantes et de contribuer à la professionnalisation des acteurs. Cette formation à et par la recherche en éducation participe de la professionnalisation de l’ensemble des partenaires du réseau. Il est l’occasion de diffuser des résultats des recherches conduites dans le domaine de l’éducation scientifique et technologique et de la formation professionnelle, d’échanger sur les innovations, vecteur du développement des sociétés, de favoriser la construction de futurs programmes communs et de soutenir la publication scientifique afin de valoriser les recherches conduites au-delà de nos réseaux locaux.
Par ailleurs, il vise à accompagner les doctorants et post-doctorants dans une démarche de communications et de publications scientifiques.
Calendrier et dépôt des communications
Communication complète de 15 000 caractères (espaces et ponctuations compris) hors bibliographie.
- Lancement appel à communications : 30 novembre 2019
- Soumission des articles : 31 mars 2021
- Notification acceptation et demandes corrections :
- Dépôt des articles finis :
Pré-inscription
Pour nous permettre de vous accompagner dans la recherche de financements pour votre participation au colloque et afin de faciliter la communication entre nous, nous vous demandons de vous pré-inscrire le plus rapidement possible. via la plateforme https://raiffet2020.sciencesconf.org/
Dès votre pré inscription réalisée, nous vous ferons parvenir un courrier officiel du RAIFFET afin de vous permettre de solliciter votre institution d’appartenance (université, école, laboratoire, ONG, entreprise…) pour l’obtention du financement de votre participation au colloque.
Nous prendrons également contact si nécessaire avec la direction de votre institution pour soutenir votre demande.
Pour trouver le financement qui va vous permettre de participer au colloque pensez à solliciter et à monter des dossiers de demande d’aide auprès des grands organismes tels que l’AUF, ….
Pour nous joindre : administrateur@raiffet.org
Prix du Jeune Chercheur #RAIFFET2021
Lors de chacun de ses colloques, le RAIFFET décerne le Prix du Jeune Chercheur. Ce prix vise à remarquer le travail d’un jeune chercheur engagé dans la recherche récemment.
Les critères retenus concernent la qualité de la production scientifique, l’originalité des travaux conduits, ainsi que l’intérêt et la portée sociale pour le développement de l’éducation, notamment en Afrique.
Peuvent candidater tous les doctorants ou jeunes docteurs (ayant soutenu leur thèse entre 2018 et 2020), sans aucune condition de nationalité, de langue de rédaction des travaux scientifiques ou de pays dans lequel les travaux ont été réalisés.
Pour pouvoir candidater, les personnes intéressées doivent déposer en plus de leur communication au colloque :
- Un Curriculum Vitae détaillé (quatre pages maximum, détaillant les activités d’enseignement, les activités de recherche et les responsabilités exercées)
- La liste des publications scientifiques produites par le candidat et distinguant les articles, les ouvrages et les chapitres d’ouvrages, les communications dans des colloques (en précisant si ces communications sont publiées ou non dans des actes). La liste sera fournie à la norme APA 6th.
Le Prix du Jeune Chercheur est remis aux lauréats lors de la soirée de Gala.
Compléter le formulaire d’inscription, calculer et régler
1. Compléter le formulaire en ligne sur sciencesconf.org,
Inscription au 6ème Colloque international du RAIFFET du 5 au 9 octobre 2020 à l’E.N.S. Université Norbert ZONGO de KOUDOUGOU au BURKINA FASO via :
https://raiffet2020.sciencesconf.org
2. Régler par un virement bancaire, chèque, liquide OU par Carte bancaire
- effectuer le virement via : IBAN : FR76 1460 7005 0196 0133 2372 433 BIC : CCBPFRPPMAR
- Pour le chèque, le liquide ou en cas de soucis contactez guy.oliveri@raiffet.org
- Par carte bancaire cliquez : https://www.helloasso.com/associations/raiffet/evenements/6eme-colloque-international-du-raiffet-a-koudougou
De quelles informations avez vous besoin ?
Votre identité professionnelle
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- Courriel professionnel, Adresse site Web professionnel
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- Passeport (Numéro, délivré le, Par l’autorité) :
- Visa :
Quels choix faire ?
1. L’inscription au colloque
Les frais d’inscription au colloque concernent les communicants et les auditeurs ou accompagnateur. Ils incluent :
- La participation à l’ensemble des sessions du colloque
- Le matériel du colloque
- L’hébergement comprend la chambre, le petit déjeuner, le déjeuner, le dîner, les pauses-café et le repas de gala.
- Membre AFRICAIN du RAIFFET : ETUDIANTE, ETUDIANT, 5000FCFA/ 7€ Inscription AVEC communication SANS hébergement AVEC paiement des 5000FCFA sur place auprès du gestionnaire financier du colloque ou son représentant.
- Membre AFRICAIN du RAIFFET : ENSEIGNANT, CHERCHEUR, ENCADREMENT, 30.000FCFA/ 45€ Inscription AVEC communication AVEC les déjeuners, les pauses-café, le repas de Gala et SANS Hébergement.
- Membre AFRICAIN du RAIFFET : ETUDIANTE, ETUDIANT, 70.000FCFA/105€ Inscription AVEC communication AVEC Hébergement qui comprend une chambre d’hôtel pour six nuits (du 5 au 9 octobre) avec le petit déjeuner, déjeuners, le dîner, les pauses-café, le repas de gala, les navettes aéroport-hôtel et hôtel-lieu du colloque.
- Membre AFRICAIN du RAIFFET : ENSEIGNANT, CHERCHEUR, ENCADREMENT, 100000FCFA/ 150€ Inscription AVEC communication AVEC hébergement qui comprend une chambre d’hôtel pour six nuits (du 5 au 9 octobre) avec le petit déjeuner, déjeuners, le dîner, les pauses-café, le repas de gala, les navettes aéroport-hôtel et hôtel-lieu du colloque.
- Membre NON AFRICAIN du RAIFFET : ENSEIGNANT, CHERCHEUR, ENCADREMENT,… 722000 FCFA/ 1100€ Inscription AVEC communication AVEC hébergement qui comprend une chambre d’hôtel pour six nuits (du 5 au 9 octobre) avec le petit déjeuner, déjeuners, le dîner, les pauses-café, le repas de gala, les navettes aéroport-hôtel et hôtel-lieu du colloque.
- Institution NON membre du RAIFFET : ETUDIANT, CHERCHEUR, autres… 722000FCFA : 1100€ Inscription AVEC communication AVEC hébergement qui comprend une chambre d’hôtel pour six nuits (du 5 au 9 octobre) avec le petit déjeuner, déjeuners, le dîner, les pauses-café, le repas de gala, les navettes aéroport-hôtel et hôtel-lieu du colloque.
2. Rappel aux institutions membres du réseau RAIFFET
Pour nous permettre de mettre en œuvre ces actions, nous avons besoin des contributions des institutions.
Lors de l’assemblée générale de Dakar, nous avions fixé une cotisation annuelle variable selon la taille de l’établissement et selon les ressources de celui-ci.
Le montant envisagé est compris entre 100 000 FCFA (150 €) et 1 000 000 FCFA (1 500 €). Avez-vous pensé à payer votre cotisation ?
Prenez contact avec guy.oliveri@raiffet.org pour toute demande d’adhésion de votre institution.
Vols et visa vers le BURKINA FASO ?
Les vols et le visa sont financés par les participants.
Plusieurs modes de prise en charge peuvent être mis en œuvre pour les communicants :
1. Prise en charge par votre établissement ou votre laboratoire
- Mettez-vous en relation avec votre directeur d’établissement ou de laboratoire.
- Merci de faire parvenir au RAIFFET une copie des éléments de votre demande.
2. Prise en charge par l’AUF ou les ambassades
Faites, dès maintenant une demande auprès de l’AUF pour une aide à la mobilité :
- Pour les communicants d’Afrique de l’Ouest : Appui à la participation à une manifestation scientifique 2017 : https://www.auf.org/appels-offre/appui-la-participation-une-manifestation-scientifi/
- Pour les africains de l’Afrique Centrale et des grands lacs : Mobilités académiques et scientifiques 2017 Afrique Centrale et des Grands Lacs activer le lien : https://formulaires.auf.org/afrique-centrale-et-des-grands-lacs/appel-d-offre-mobilites-academiques-et-scientifiques-2017-afrique-centrale-et-des-grands-lacs/
- Pour les doctorants (exclusivement) du Maghreb (Algérie, Maroc, Tunisie) pour financer votre participation au prochain colloque du RAIFFET : https://www.auf.org/allocations/mobilites-2017-soutien-la-participation-des-doctor/
Le RAIFFET assurant un suivi des demandes déposées auprès de l’AUF, merci de nous faire parvenir une copie des éléments.
3. Ambassades et consulats français à l’étranger
4. Les deux demandes de prise en charge ont échoué
Le RAIFFET pourra apporter une aide complémentaire pour une prise en charge partielle de votre billet
- Le billet d’avion doit être au tarif le plus économique.
- Le RAIFFET vous remboursera le prix du billet d’avion déduction faite des 90 000 FCFA (ou 315 €) qui restent à votre charge.
- Votre demande doit être formulée via guy.oliveri@raiffet.org dans les meilleurs délais, accompagné des deux attestations de non prise en charge par votre établissement et/ou l’AUF, de la facture d’achat du billet d’avion et de votre RIB.
5. Aucune autre solution
Si malgré les trois dispositifs d’aide ci-dessus, vous rencontrez des difficultés pour financer votre billet d’avion, contactez les organisateurs du 5e colloque international du RAIFFET via guy.oliveri@raiffet.org, nous vous proposerons une solution afin de participer.
Modèle publication scientifique
Un exemple de communication
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Exemple en ligne :
Titre de la communication
Prénom et Nom de l’auteur
Institution, laboratoire
Adresse institution
Prénom et Nom du second auteur, s’il y a lieu
Institution
Adresse institution
Résumé
Le résumé de la communication ne doit pas excéder 1 500 caractères, espaces et ponctuations inclus.
Mots-clés : cinq mots-clés au maximum
Titre 1
Titre 2
Titre 3
La rédaction de votre communication doit être faite avec soin en respectant le modèle joint.
La présentation des tableaux se fait en utilisant le modèle ci-dessous.
Évitez les tableaux trop complexes (plus de 6 colonnes et plus de 10 lignes).
Évitez les tableaux qui font apparaître des textes longs
Les titres des colonnes sont centrés, les titres des lignes sont alignés à gauche, les données textuelles sont centrées, les données numériques sont alignées à droite.
Tableau 1 : la légende est avant le tableau et numérotée
Colonne 1 | Colonne 2 | Total | |
Ligne 1 | Donnée 11 | Donnée 12 | Donnée 11 + 12 |
Ligne 2 | Donnée 21 | Donnée 22 | Donnée 21 + 22 |
Total | Donnée 11 + 21 | Donnée 12 + 22 | Donnée 11+12+21+22 |
En ce qui concerne les figures, elles doivent être jointes dans des fichiers séparés à un format standard : .jpg, .png, .tif, .gif. N’utilisez pas un autre format pour vos figures et surtout pas le format .bmp
Toutes vos figures sont légendées. La légende est après la figure.
Figure 1 : la légende est après la figure et numérotée
Les références bibliographiques doivent être à la norme APA. Elles sont citées dans le texte sous la forme suivante (Martin, 2012) ou encore (Dupond & Dupont, 2013) ou encore (Blanche-Neige & Al, 2011).
Lorsque l’on cite plusieurs référence, c’est sous la forme (Cendrillon, 2007 ; Martin, 2009 ; Blanche-Neige & Al, 2005).
On peut également utiliser la forme suivante. White-Snow (2008) montre dans ces travaux que la neige est blanche.
Lorsqu’on emprunte une citation à un auteur, elle doit être repérée entre guillemets et en italique. Si la citation est limitée à quelques mots, elle est incluse « directement dans le texte comme cela » (Cendrillon, 2009).
Lorsque celle-ci est plus longue, elle est introduite de la façon suivante. Dupond & Dupont (2007) formulent l’hypothèse suivante :
« Il est assez simple de rédiger un texte pour une publication scientifique qui répond aux normes scientifiques internationales. Il faut utiliser le modèle fournit par l’éditeur et écrire de manière simple, avec des phrases claires, construites, pas trop longues… »
Les références bibliographiques sont citées intégralement dans le dernier chapitre de la communication, par ordre alphabétique et lorsqu’un auteur est cité plusieurs fois par ordre chronologique.
Références bibliographiques
Blanche-Neige, M., Prof, N., Grincheux, G., Timide, T., & Sorcière, S. (2011, 20-21 juillet). La pomme dans la mythologie judéo-chrétienne. Paper presented at the 112e conférence internationale des héros de Walt Disney. In Actes du colloque (pp. 2323-2378). Disneyland Paris.
Dupond, D., & Dupont, T. (2007). Le rôle des policiers dans les aventures de Tintin. In T. Tintin (Eds.), Au pays des sciences (pp. 72-121). Bruxelles: Casterman.
Dupond, D., & Dupont, T. (2013). Réflexions sur l’ambiguïté de la dualité. Bruxelles: Casterman.
Martin, P. (2012). Activités ordinaires d’un enseignant en classe. Revue de didactique des activités ordinaires, 7(3), 123-157.
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