L’ESPE d’Aix-Marseille Université vient d’obtenir le renouvellement de la Chaire UNESCO « Education scientifique et technologique et formation des enseignants » de 2017 à 2021.
Créée en juin 2012 sur la base d’un accord entre l’ENSETP (Ecole Normale Supérieure d’Enseignement Technique et Professionnel) de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, au Sénégal, et l’ESPE d’Aix-Marseille Université, la Chaire a pour objectif de promouvoir, en Europe et en Afrique, un système intégré d’activités de recherche, de formation et de perfectionnement permanent de la formation des enseignants dans les domaines des sciences et technologies.
Forte d’un vaste réseau de partenaires à l’échelle mondiale et co-dirigée par Jacques Ginestié, directeur de l’ESPE d’Aix-Marseille et Saliou Diouf, directeur de l’ENSETP de Dakar, la Chaire a mené, depuis sa création, de nombreuses activités telles que l’organisation de séminaires, colloques, mobilités enseignantes et étudiantes, formations diplômantes permettant ainsi :
- le développement de la formation des enseignants dans les domaines de l’éducation scientifique et technologique à travers le projet Erasmus Mundus « Science and Technology Education Teachers Training International Network » (STETTIN) ;
- la collaboration entre chercheurs et institutions d’enseignement supérieur notamment dans le cadre du RAIFFET (Réseau Africain des Institutions de Formation de Formateurs de l’Enseignement Technique) et du RIFFEF (Réseau International Francophone des Etablissements de Formation de Formateurs) ainsi que des publications communes ;
- l’expansion d’un réseau universitaire international centré sur la formation des enseignants en éducation scientifique et technologique pour un renforcement de la coopération.
Le renouvellement de la Chaire témoigne de la qualité du travail accompli jusqu’à aujourd’hui ; travail que l’ESPE et l’ENSETP auront l’opportunité de poursuivre, avec leurs partenaires, au cours des quatre années à venir.
Contact
Responsable
Jacques Ginestié jacques.ginestie@univ-amu.frDirecteur de l’IUFM d’Aix-Marseille
Corresponsable
Saliou Diouf saliou.diouf@ucad.edu.snDirecteur de l’ENSETP de Dakar
Administration
Agnès Curcio agnes.curcio@univ-amu.frPole Recherche et Coopération Internationale en Education Tel : +33 4 13 55 22 82
Acteurs
1. Objectifs
L’accès aux savoirs scientifiques et technologiques relève du double objectif d’accès à la culture scientifique et technique pour tous et de développement des compétences scientifiques et technologiques nécessaires pour accompagner le développement socioéconomique des pays.
L’accès aux savoirs scientifiques et technologiques relève du double objectif d’accès à la culture scientifique et technique pour tous et de développement des compétences scientifiques et technologiques nécessaires pour accompagner le développement socioéconomique des pays. Inscrits dans la réalisation des objectifs de l’Éducation pour tous (EPT), de nombreux rapports et avis d’experts montrent la difficulté qu’il y a à mettre en œuvre ces enseignements ; ces difficultés concernent tout aussi bien les questions d’organisation des conditions d’enseignement et les dispositifs nécessaires pour les rendre possibles que les questions relatives à l’égalité des chances entre les enfants (masculin/féminin, origine sociale, environnement socioculturel, intégration des enfants handicapés…) pour qu’ils accèdent aux mêmes contenus de savoirs. Les processus d’enseignement apprentissage à l’œuvre dans ces domaines particuliers suppose de concevoir, de réaliser, de mettre en œuvre et de réguler des politiques en matière d’éducation, d’enseignement et d’apprentissage extrêmement ambitieuses dont le succès repose en grande partie sur la formation initiale et continue d’un corps enseignant de haute qualité.
Ces exigences de qualité, d’efficacité et d’égalité d’accès se posent à tous les pays – la désaffection pour les études scientifiques et technologiques touche tout le monde – les formes qu’elles revêtent sont certainement différentes d’un pays à l’autre, ce qui est probablement également le cas pour les autres objectifs du millénaire et de l’EPT. La pénurie d’enseignants formés, que ce soit pour l’école primaire ou pour l’enseignement secondaire, est un obstacle particulièrement prégnant pour les nombreux pays en développement qui cherchent à atteindre ces objectifs du millénaire. La formation des enseignants ne peut se résumer à des transmissions de recettes pédagogiques plus ou moins instituées ; elle doit reposer sur des organisations de recherche à même de penser les organisations d’enseignement, les dispositifs didactiques à mettre en œuvre pour offrir à toutes et tous les enfants un enseignement de qualité adaptés aux conditions locales sans renoncer à aucune des exigences d’éducation et d’accès aux savoirs.
Forts d’une riche expérience à l’international dans la formation des enseignants et d’un solide réseau partenarial, notamment en Europe et en Afrique, l’Ecole Normale Supérieure d’Enseignement Technique et Professionnel (ENSETP) et l’Université d’Aix-Marseille au travers de son École Supérieure du Professorat et de l’Éducation (ESPE) souhaitent prendre part aux actions de l’Unesco et de l’Agence Universitaire de la Francophonie pour promouvoir dans ces pays un système intégré d’activités de recherche, de formation et de perfectionnement permanent de la formation des enseignants dans les domaines des sciences et technologies. Le projet consiste à articuler recherche et formation dans une perspective de structuration des échanges interuniversitaires. Il s’agit, d’une part de contribuer à la structuration de la formation des cadres en éducation, et plus particulièrement en éducation scientifique et technologique, par le développement concerté de formations universitaires des cycles L, M et D (Licence, Master, Doctorat). Il s’agit, d’autre part, de renforcer la recherche en éducation scientifique et technologique afin qu’elle soit à même de produire les connaissances dont chaque pays a besoin pour faire évoluer son système éducatif, de former les cadres nécessaires pour organiser, mettre en œuvre et réguler la formation des enseignants et aussi de structurer les échanges de compétences autour des questions d’enseignement, d’éducation ou de formation. Plusieurs expériences réussies ont été déjà conduites, comme par exemple, la structuration d’un master recherche et d’une formation doctorale en éducation scientifique et technologique en Tunisie.
1.1. Missions de la chaire
Développement des recherches en éducation sur les questions d’éducation scientifique et technologique et de formation des enseignants pour l’école primaire et l’enseignement secondaire : mise en place de cotutelles de thèses, réponses collectives à des appels d’offre et des appels à projets internationaux, mobilité des doctorants et des chercheurs, accompagnement de la structuration des laboratoires ou des équipes de recherche des partenaires du réseau de la chaire.
Développement des formations d’enseignants pour l’école primaire et d’éducation scientifique et technologique pour l’enseignement secondaire : harmonisation et coordination des curricula de formation des enseignants dans le cadre du LMD, rapprochement des organisations de formation et de diplomation des enseignants, mobilité étudiante Nord-Sud et Sud-Sud, programmes de formations ouvertes et à distance.
Développement des moyens de communication, d’accès à distance à des ressources pour l’enseignement et la formation : mise en place d’un serveur Internet, Intranet et Extranet à même d’assurer la diffusion et l’accès aux informations et aux ressources produites par les partenaires de la chaire, mise en œuvre des plateformes collaboratives afin d’organiser le travail des équipes et leur interactions à distance, mise en œuvre des systèmes de portfolios électroniques pour le suivi et la régulation des formations distantes.
1.2. Objectifs
– Contribuer au développement de la formation des enseignants dans les domaines de l’éducation scientifique et technologique. A cette fin, élaborer des masters et autres formations aux métiers de l’enseignement, de l’éducation et de la formation et assurer les formations ; développer des projets de recherche et assurer la dissémination de leurs résultats ; développer des mobilités d’enseignants chercheurs et d’étudiants en master ; créer une plateforme travail à distance et un site web pour faciliter l’échange et la communication ; promouvoir le développement de communautés de pratique ;
– Constituer un pôle d’excellence international de formation des enseignants en éducation scientifique et technologique afin de renforcer les initiatives de l’UNESCO pour la formation des enseignants notamment en Afrique ;
– Faciliter la collaboration entre chercheurs et institutions d’enseignement supérieur de diverses régions du monde et plus particulièrement avec le Réseau africain des institutions de formation des formateurs de l’enseignement technique (RAIFFET) dans le cadre de la création du Centre International de Recherche et de Formation en Éducation Scientifique, Technologique et Professionnelle ;
– Développer un réseau universitaire international centré sur la formation des enseignants en éducation scientifique et technologique en mobilisant des universités francophones et leurs partenaires, pour un renforcement de la coopération dans le domaine de la formation, de la recherche et de l’échange des connaissances.
2. Projets
2.1. Structuration de la recherche en éducation
La chaire est adossée à un processus de structuration de la recherche en éducation et formation des enseignants. L’ENSETP et l’ESPE souhaitent par ce biais contribuer au développement des interrelations Nord-Sud-Sud en organisant la structuration de réseaux de recherche et d’expertise dans ces domaines de la formation des enseignants et de l’éducation scientifique et technologique ; il s’agit pour ces réseaux de développer la compréhension mutuelle des acteurs et des actants au travers des dynamiques contextuelles dans lesquelles ils opèrent et aux facteurs qui influent sur eux. Il s’agit de développer des communautés de pratique qui entretiennent des relations et partagent des problématiques communes afin de mener des actions utiles, durables et appropriées. Ces réseaux seront des vecteurs d’intervention générant des objets d’étude partagés, entrainant des mises en commun de compétences et de champs d’action. La finalisation des actions entreprises s’organisera à partir des besoins sociaux des membres du réseau en matière d’enseignement, d’éducation et de formation. Les interactions privilégieront le partage de témoignages, notamment au travers des analyses de ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas, et la mise en commun de ressources, de méthodes et d’outils pour la recherche, pour la formation et pour l’enseignement. Dans cette perspective, l’ENSETP et l’ESPE travailleront en étroite collaboration avec le réseau IICBA (International Institute for Capacity Building in Africa).
Il s’agit d’accompagner la structuration de la formation des enseignants dans les pays africains en mettant l’accent sur l’accompagnement de l’organisation de la recherche en éducation scientifique et technologique dans chacune des institutions concernées. Le projet doit permettre la mobilité des étudiants, des formateurs et des chercheurs dans des échanges Nord-Sud mais surtout doit permettre de structurer et de développer les échanges Sud-Sud.
Pour les étudiants, il s’agit de favoriser l’ouverture à d’autres contextes, d’autres structures de formation, d’autres approches de la professionnalité. Pour les formateurs d’enseignants, il s’agit de confronter les compétences, de consolider les connaissances et de développer de nouvelles approches. Pour les chercheurs, il s’agit de renforcer l’environnement scientifique local, d’aider à l’émergence d’équipes et de laboratoires locaux ainsi que le développement de recherches fondamentales finalisées par les besoins locaux d’enseignement d’éducation et de formation. Cela passe par un développement des politiques de publication, par la mise en place de protocoles de recherche exploitable dans des contextes proches, ou encore par le développement de projets multi-partenariaux.
2.2. Programme Erasmus Mundus Action 2
Programme Erasmus Mundus Action 2
(Afrique-Caraïbe-Pacifique)
Science & Technology Education Teachers Training International Network- STETTIN
Objectifs
Le projet Erasmus Mundus STETTIN obtenu par l’ESPE est financé par la commission européenne pour un budget de 2 524 250 €. Il s’agit d’un partenariat constitué par des Universités Européennes et des Universités des pays ACP. Il vise à développer et à structurer la coopération universitaire interinstitutionnelle pour la formation initiale des étudiants qui se destinent aux métiers de l’enseignement, de l’éducation et de la formation dans les domaines de l’éducation scientifique, technologique et professionnelle. Cela concerne tous les niveaux d’enseignement, de la maternelle à l’université. Ce projet est financé par la Commission Européenne à travers le programme Erasmus Mundus Action 2, un des programmes de coopération entre l’Union Européenne et les Pays Tiers.
Les objectifs spécifiques du programmes sont de :
– Contribuer à l’enrichissement mutuel des sociétés en développant les qualifications des hommes et des femmes, afin qu’ils acquièrent une expérience internationale et des compétences adaptées au marché du travail ;
– Promouvoir la mobilité des étudiants, des chercheurs, des enseignants et du personnel administratif des pays tiers, en particulier ceux issus de groupes vulnérables, sélectionnés sur base de leur excellence académique, afin qu’ils puissent obtenir des qualifications et/ou une expérience en Europe ;
– Contribuer au développement des ressources humaines et à la capacité de coopération internationale des établissements d’enseignement supérieur des pays tiers au travers de flux de mobilité important entre l’Europe et ces pays, dans le respect des principes d’égalité des chances et de non-discrimination.
Partenariat
L’ESPE de l’Université d’Aix-Marseille est l’établissement coordonnateur d’un consortium de dix-huit institutions universitaires partenaires impliquées dans le projet STETTIN.
Universités Européennes :
Université d’Aix-Marseille – ESPE (France), Katholieke Hogeschool Sint-Lieven (Belgique), Université de Patras( Grèce), Université de Barcelone (Espagne), Université Montesquieu Bordeaux IV – ESPE d’Aquitaine (France) ;
Universités ACP :
Université Cheikh Anta Diop – ENSETP de Dakar (Sénégal), Université de Koudougou – ENSUK (Burkina Faso), Institut Pédagogique National de l’Enseignement Technique et Professionnel d’Abidjan (Côte d’Ivoire), Ecole Normale Supérieure d’Enseignement Technique de Libreville (Gabon), Université de Yaoundé – ENS (Cameroun), Université des Comores (Comores), Bindura University of Sciences Education Zimbabwe), University of Namibia (Namibie), National University of Lesotho (Lesotho), Institut Universitaire des Sciences de l’Education (Haïti), Instituto Superior de Formacion Docente Salomé Uréña (République Dominicaine), Université de Lomé (Togo), Institut de Formation des Enseignants de Vanuatu (Vanuatu), Universidad Nacional de Guinea Ecuatorial (Guinée Equatoriale).
Domaine d’étude
Le projet STETTIN est exclusivement orienté vers le domaine de l’éducation et de la formation des enseignants du primaire, du secondaire et/ou professionnel.
Les mobilités envisagées dans le cadre du projet STETTIN concernent les étudiants dans le cursus de master Métier de l’Enseignement de l’Education et de la Formation, les doctorants et les personnels d’un des établissements partenaire du projet. Elles sont organisées de l’Europe vers les pays de la zone ACP pour les seuls personnels d’un des cinq établissements européens et de la zone ACP vers l’Europe pour les trois catégories de bénéficiaires.
De l’Europe vers un pays de la zone ACP
Ce type de mobilité ne concerne que les personnels enseignants, chercheurs ou de direction d’un des établissements partenaire européen du projet STETTIN en exercice au moment de la mobilité. Les mobilités des personnels sont établies sur la base d’un projet personnel du candidat qui s’inscrit dans le cadre du projet STETTIN en vue du développement et du renforcement des partenariats entre les établissements du consortium. Ces projets personnels doivent recueillir un avis favorable motivé de son établissement d’origine et de l’établissement d’accueil.
D’un pays de la zone ACP vers l’Europe
Étudiants en master
Sont éligibles aux mobilités dans le cadre du projet STETTIN les étudiants ressortissant d’un des pays de la zone ACP couverts par le lot. En tout état de cause les candidats doivent satisfaire aux exigences requises pour s’inscrire dans le cursus visé dans le projet.
Les candidats à une mobilité devront être titulaires d’une licence (ou d’un diplôme reconnu équivalent selon les normes usuelles en cours) au 1er septembre de l’année universitaire de début de la mobilité (au 1er septembre 2013 pour la première promotion, au 1er septembre 2014 pour la seconde).
La mobilité est organisée sur une période de trois semestres, le quatrième semestre étant une période de stage professionnel dans le pays d’origine. Les cinq universités européennes délivrent 30 ECTS par semestre aux étudiants (120 ECTS pour le master complet). Les étudiants ACP passeront les épreuves prévues par les maquettes des masters de l’université d’accueil. Le quatrième semestre correspond à l’écriture et la soutenance d’un mémoire professionnel, et sera validé par un jury composé d’un enseignant de l’université d’accueil et d’un enseignant de l’université d’origine.
Pour les étudiants qui ont choisi une mobilité en Belgique, le programme d’étude s’organise en quatre semestres. Les deux premiers semestres se font obligatoirement à la Katholieke Hogeschool Sint-Lieven choisi par le candidat lors de son inscription. Le troisième semestre se fera à l’ESPE de l’Université d’Aix-Marseille et cela en fonction du programme d’études définit initialement ; en ce cas et sous réserve que l’étudiant satisfasse aux conditions d’évaluation des deux premiers semestres, son admission dans le cursus du second établissement européen se fait sur la base de la validation des enseignements supérieurs de la première année de master et sur l’obtention des soixante crédits ECTS correspondant.
Etudiants doctorants :
Les candidats à une mobilité en vue de préparer un doctorat devront être titulaires d’un master (ou d’un diplôme reconnu équivalent selon les normes usuelles en cours) au 1er septembre 2013. Ils devront en outre être engagé dans une formation doctorale dans l’une des universités partenaire de la zone ACP et avoir un directeur de thèse local identifié. Les thèses se feront soit en codirection, soit en cotutelle selon les conditions d’accueil dans l’université partenaire de la zone ACP.
Personnels enseignants, chercheur et de direction
Les candidats doivent être ressortissant d’un pays des de la zone ACP concernés par le lot. Sont éligibles les personnels enseignants, chercheurs ou de direction d’un des établissements partenaire de la zone ACP du projet STETTIN en exercice au moment de la mobilité. Les mobilités des personnels sont établies sur la base d’un projet personnel du candidat qui s’inscrit dans le cadre du projet STETTIN en vue du développement et du renforcement des partenariats entre les établissements du consortium. Ces projets personnels doivent recueillir un avis favorable motivé de son établissement d’origine et de l’établissement d’accueil.
Mobilités offertes
Mobilité |
Groupe cible |
Places |
Nombre de mois |
Bourse Mensuelle |
|
---|---|---|---|---|---|
ACP vers Europe |
1 |
42 |
|||
Master |
2 |
28 |
17 |
€ 1.000 |
|
3 |
14 |
||||
Doctorat |
1 |
14 |
10 |
€ 1.500 |
|
Personnels Académique etAdministratif |
1 |
14 |
1 |
€ 2.500 |
|
Europe vers ACP |
Personnels Académique etAdministratif |
1 |
8 |
1 |
€ 2.500 |
Étudiants du groupe cible 1 (TG1) : les candidats doivent être régulièrement inscrits dans l’un des quatorze établissements de la zone ACP partenaire du projet STETTIN.
Étudiants du groupe cible 2 (TG2) : les candidats doivent être régulièrement inscrits dans un établissement (différent de l’établissement partenaire) d’un des pays de la zone ACP concernés par le projet STETTIN ou être dans un projet de reprise d’études.
Étudiants du groupe cible 3 (TG3) : les candidats doivent être ressortissants d’un des pays de la zone ACP concernés par le lot et répondre à un des critères d’éligibilité au titre des groupes cibles des populations vulnérables. Ces deux conditions sont appréciées au sens des critères définis dans le programme Erasmus Mundus. Ils peuvent résider dans un autre pays que la zone ACP.
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