Résumé
Chaque année des centaines de milliers de jeunes africains quittent les systèmes éducatifs formels sans avoir appris un métier. Ils s’insèrent davantage dans l’économie informelle par le biais de formations approximatives sur le tas. Les bouleversements socio-économiques qui découlent de la pénétration phénoménale des TIC, et particulièrement du téléphone mobile, nous interpellent sur leur implémentation dans la formation professionnelle en secteur informel et plus précisément dans la formation des formateurs de ce secteur. Cette interpellation est d’autant plus opportune que le secteur informel, combattu au début des années 1980, fait l’objet aujourd’hui d’une attention de la part des gouvernements, des bailleurs de fonds et des chercheurs. Il est établi que le Bénin, le Cameroun et le Sénégal sont parmi les pays africains les plus marqués par l’explosion du secteur informel. L’exploitation de plusieurs études menées sur la formation professionnelle en secteur informel et sur l’appropriation des TIC dans ces trois pays suscités, et l’Afrique du Sud montre que le téléphone mobile est le principal outil de communication des UPI (unité de production de l’informel). Cependant le secteur informel ne profite pas des nouvelles applications mobiles telles que le m-learning ou l’apprentissage nomade alors que l’environnement technologique s’y prête.
Mots clés
Professionnelle, apprentissage, formateur, informel, mobile-learning
Introduction
La formation professionnelle en secteur informel est un défi majeur à relever pour l’Afrique. Si tant est qu’elle veut atteindre des objectifs ambitieux en termes de réalisation du Pacte mondial pour l’emploi adopté en 2009 par les Nations unies ou plus généralement en termes de lutte contre la pauvreté. 11 millions de jeunes, la majorité formée sur le tas, feront leur entrée sur le marché du travail au cours de la prochaine décennie. Des études révèlent les possibilités de rendre l’apprentissage traditionnel plus performant. Il se trouve que dans tout système de formation, la question de la formation des formateurs est essentielle. Cependant, la littérature scientifique sur la formation dans le secteur informel est très récente. Elle est quasi inexistante s’agissant de la formation des formateurs dans ce secteur.
Par ailleurs, les TIC (technologie de l’information et de la communication) sont apparues comme un vecteur de croissance dans de nombreuses activités comme le confirment plusieurs études. À ce titre, le rôle joué par le téléphone mobile en Afrique est édifiant. Notre démarche vise donc à explorer les possibilités de l’introduire dans la formation des formateurs du secteur informel.
Contexte
Le secteur informel est officiellement défini comme (BIT, 1993) : « Un ensemble d’unités produisant des biens et des services en vue principalement de créer des emplois et des revenus pour les personnes concernées. Ces unités, ayant un faible niveau d’organisation, opèrent à petite échelle et de manière spécifique, avec peu ou pas de division entre le travail et le capital en tant que facteurs de production. Les relations de travail, lorsqu’elles existent, sont surtout fondées sur l’emploi occasionnel, les relations de parenté ou les relations personnelles et sociales plutôt que sur des accords contractuels comportant des garanties en bonne et due forme ».
Longtemps marginalisé, voire combattu, le secteur informel connaît une explosion avec la crise des années 1980 et finit par peser (40 à 60 % du PIB) sur les économies nationales. D’un pays africain à un autre, ce secteur occupe 60 à 90 % de la population active. Une population (BIT, 2009) « piégée dans un cercle vicieux où faibles qualifications, faible productivité et faibles revenus sont indissociables. Faute de possibilités et de moyens de formation, les jeunes ne sont pas en mesure d’améliorer leur employabilité et, partant, de s’extraire de la pauvreté. »
De nombreux travaux de recherche montrentque la dynamisation de l’économie informelle passe par la rationalisation et le renforcement de la formation dans ce secteur (Richard Walker, 2007 ; BIT, 2012). Des études dans plusieurs pays mettent en exergue des initiatives pour la mise en place de modes de formation plus structurés (Richard Walker, 2007). Bonaventure Maïga (2008) met à jour les écueils rencontrés dans ces initiatives.
Par ailleurs, les TIC et les biotechnologies sont les innovations qui ont le plus bouleversé le monde ces 30 dernières années (Ahmed Dahmani, 2005). Une enquête réalisée dans 53 pays conclut que l’Afrique doit aller de l’avant dans l’intégration des TIC dans l’éducation (Farrell Glen, Shafika Isaacs, 2007). Des certitudes émergent sur la nécessité d’une implémentation des TIC dans la formation des enseignants (Karsenti et Lessard, 2007). Cette implémentation se trouve contrariée par plusieurs obstacles. Sehi Antoine Mian (2010) cite : « les coûts élevés des équipements, les centres d’accès à Internet peu nombreux et inégalement répartis sur les territoires, le fossé technopédagogique et surtout le manque d’enseignants formés ».
Si l’Afrique manque de professeurs, elle ne manque pas de mobiles. Pour Tete Enyon (2013) : « la téléphonie mobile a connu un boom en Afrique. Et durant ce siècle, c’est la seule technologie dont la propagation s’est faite à une vitesse aussi vertigineuse. Même dans les endroits les plus reculés du continent, privés d’accès à l’électricité et à d’autres infrastructures essentielles, il n’est pas rare de trouver des utilisateurs de téléphone portable. » Le GSMA (2012) évaluait à plus de 620 millions le nombre de connexions mobiles en Afrique. Deuxième place mondiale après l’Asie. Le développement de la 3G et des appareils mobiles, tels que les ordinateurs de poche, tablettes numériques, baladeurs MP3, ouvre des possibilités d’apprentissage à distance, interactif, en tout lieu et en tout temps. C’est ce qu’on appelle le mobile- learning ou école nomade. Le rapport e-learning Africa 2012 atteste qu’il peut améliorer la qualité de l’éducation, développer les compétences du XXIe siècle, rendre accessible l’éducation dans les zones les plus reculées. Si les travailleurs de l’informel ont des difficultés à se rendre dans des structures de formation, alors par le mobile-learning les formations peuvent-elles venir à eux ?
Cadre de l’étude
Pour faire face à l’explosion du secteur informel les pays africains élaborent depuis la fin des années 1990 des politiques publiques qui intègrent le poids économique et social des millions de jeunes qui s’insèrent dans le monde du travail sans aucune qualification. La question de la formation professionnelle en secteur informel est désormais prise en compte dans les politiques nationales de l’emploi, les politiques nationales de la formation professionnelle et technique. Dans le cadre de notre réflexion, nous avons choisi de cibler quatre pays : le Bénin, le Cameroun, le Sénégal et l’Afrique du Sud.
Selon Richard Walker (2006) « Le Sénégal partage avec le Bénin et le Cameroun le fait d’avoir l’une des économies les plus informelles de l’Afrique subsaharienne. Il réalise également, à l’image des deux autres pays, une réforme de la formation professionnelle qui a pour but de reconnaître l’apprentissage traditionnel comme un lieu de formation effectif pour la très grande majorité des jeunes et adultes qui y travaillent et de le faire évoluer progressivement vers la production d’un premier niveau de qualification et de certification de l’ensemble du système de formation. » Les orientations pour la formation professionnelle en secteur informel au Bénin sont contenues dans le document Réforme de l’enseignement technique et professionnel (2001). Le Sénégal définit les siennes dans la Lettre de politique générale pour le secteur de l’éducation et de la formation (2005). Quant au Cameroun, on découvre ses choix dans le Document de stratégie sectorielle de l’éducation (2005).
L’Afrique du Sud, probablement du fait de l’Apartheid connaîtra plus tardivement le phénomène de l’informel. Il connaîtra néanmoins une progression fulgurante entre 1997 et 2007. Le pays conçoit pour y faire face une stratégie nationale de développement des compétences.
Dans la dynamique du Sommet mondial sur la société de l’information (SMSI 2003-2005) les pays africains ont élaboré des stratégies de développement des TIC. Selon la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (CEA), en 2007, 48 pays avaient mis, ou étaient en cours de mettre, en place une stratégie de développement des TIC. Parmi lesquels les quatre pays ciblés de notre réflexion. Ces plans nationaux s’articulent autour des 11 orientations définies par le plan d’action issu du SMSI. La septième orientation (C7) intitulée : Les applications TIC et leur apport dans tous les domaines, stipule que : « Les applications des TIC peuvent contribuer au développement durable dans les domaines de l’administration publique, du commerce, de l’enseignement et de la formation, de la santé, de l’emploi, de l’environnement, de l’agriculture et des sciences, dans le cadre des cyberstratégies nationales. »
Méthodologie
La littérature scientifique s’est jusqu’à présent très peu intéressée à la formation des formateurs en secteur informel. Il nous a paru judicieux d’explorer les données issues des études globales sur la formation professionnelle en secteur informel dans les quatre pays cibles entre autres (Richard Walker, 2006). Celles-ci nous ont permis de faire une analyse comparée des processus utilisés pour la formation des maîtres artisans qui encadrent les apprentis.
Dans une seconde phase de notre réflexion nous avons ausculté deux études sur l’appropriation des TIC dans le secteur informel :
— la première porte sur l’appropriation des TIC dans les PME de quatorze pays africains dont le Cameroun et l’Afrique du Sud (Research ict Africa, 2006) ;
— la deuxième est une enquête sur les TIC et l’éducation dans 53 pays africains. Elle consacre un chapitre sur l’utilisation des TIC par les enseignants et un sur l’éducation en secteur informel.
Une troisième phase nous a conduits à passer en revue les applications de mobile-learning existantes.
Résultats
De notre réflexion nous tirons cinq enseignements majeurs :
• La confirmation des grandes tendances ;
• Un artisan formé devient automatiquement un formateur (maître artisan) ;
• Rareté des programmes structurés de formations des maîtres artisans à l’enseignement ;
• Le mobile, principal outil de communication dans l’économie informelle ;
• Davantage d’applications mobiles pour l’enseignement général que pour l’enseignement professionnel.
Confirmation des grandes tendances
Nos pays cibles sont assez représentatifs des réalités rencontrées sur l’ensemble du continent. Au rang de ces réalités les difficultés à obtenir des statistiques fiables, à jour et cohérentes. Néanmoins, nous avons pu dégager un certain nombre de grandes tendances. La confirmation que le secteur informel occupe l’essentiel de la population active. L’Afrique du Sud fait exception avec 34 % des travailleurs qui exercent dans le secteur informel.
Tableau 1 : Répartition des travailleurs dans les secteurs informel et formel (estimations 2006)
Pays
Secteur informel
Secteur formel
Bénin
93 %
7 %
Cameroun
90 %
10 %
Sénégal
90 %
10 %
Afrique du Sud
34 %
66 %
L’exception sud-africaine, on la retrouve dans le poids du secteur informel dans le PIB avec seulement 28,3 % contre 50 à 60 % pour les autres pays.
Tableau 2 : Poids du secteur informel dans le PIB (estimations 2006)
Pays
Secteur informel
Secteur formel
Bénin
60 %
40 %
Cameroun
50 %
50 %
Sénégal
50 %
50 %
Afrique du Sud
28,3 %
71,7 %
Les actifs du secteur informel sont majoritairement très peu instruits, voire analphabètes. Au Bénin et au Sénégal, la durée moyenne de la scolarité pour cette population est de 3,5 années. En Afrique du Sud, 60 % de ces travailleurs sont analphabètes.
Un artisan formé devient automatiquement un formateur (maître artisan)
Au Cameroun, au Bénin, au Sénégal 95 % des travailleurs du secteur informel acquièrent leurs compétences professionnelles sur leur lieu de travail : par autoformation, par apprentissage traditionnel, à travers une formation sur le tas. Pour l’immense majorité, la formation est faite par un artisan plus expérimenté communément appelé maître artisan (quand on n’est pas dans le cadre de l’autoformation). Il juge, après quelques années si l’apprenti est apte à exercer. Un apprenti qui est au stade de pouvoir exercer, devient un artisan qui va à son tour former des apprentis.
L’apprentissage traditionnel, l’apprentissage sur le tas sont en définitive aussi bien les modes de formation des travailleurs que ceux des formateurs de formateurs dans le secteur de l’informel.
Le poids de l’informel dans les économies africaines et les faiblesses de ce secteur ont amené les gouvernements, les partenaires au développement, les regroupements d’artisans à prendre des initiatives pour rendre l’informel plus performant. Nombreuses sont les initiatives qui visent à structurer la formation professionnelle en secteur informel. Nous pouvons citer la transformation de l’apprentissage traditionnel vers un apprentissage de type dual au Bénin, l’introduction de modules de préprofessionnalisation dans le système scolaire en Afrique du Sud, la mise en place d’une direction de l’apprentissage au ministère de l’Enseignement technique au Sénégal, ou la création d’une cellule du secteur informel au ministère de l’Emploi et de la formation professionnelle au Cameroun.
Rareté des programmes structurés de formations des maîtres artisans à l’enseignement
Les initiatives portant sur le renforcement des capacités des maîtres artisans en termes de techniques et de méthodes de transmission des savoirs sont rares. Le projet FAFNA au Sénégal et le projet GIPA au Cameroun apparaissent comme des exceptions. De plus, elles sont :
— limitées dans le temps, car occasionnelles et se déroulent sur quelques jours ;
— limitées dans l’espace parce qu’elles ne concernent qu’une ou deux grandes villes du pays et un nombre très réduits d’apprenants
Le téléphone mobile principal outil de communication dans l’économie informelle
De l’enquête sur l’appropriation des TIC dans les PME de quatorze pays africains dont le Cameroun et l’Afrique du Sud (Research ict Africa, 2006), nous en tirons que le téléphone mobile est l’outil de communication par excellence des UPI (unité de production informelle). Elles possèdent peu d’ordinateurs, de lignes fixes de téléphone, de fax ou de boîtes postales.
Tableau 3 : Outils de communication dans les UPI
Mobile 82,9 %
Ligne fixe 23,6 %
Ordinateur 12,8 %
Fax 4,4 %
Accès Internet 3, 3 %
Boîte postale 34,1 %
Dans le secteur informel le téléphone mobile est utilisé autant pour les relations privées que pour les activités professionnelles. Pour les UPI, le mobile permet une meilleure gestion du temps et de la distance, avec un impact économique positif sur la production et sur les échanges en amont et en aval. Sur le plan professionnel, le mobile sert principalement à gérer les relations avec la clientèle et les fournisseurs à travers les SMS et les appels téléphoniques. Une minorité (surtout au Kenya) utilise des applications bancaires mobiles (mobile money).
Davantage d’applications mobiles pour l’enseignement général que pour l’enseignement professionnel
La Mobiles for Education Alliance répertorie sur son site une soixantaine d’appli- cations de m-learning.
La première observation qu’on peut faire est que l’Afrique du Sud est le pays africain qui met le plus en œuvre des projets de m-learning. Près d’une dizaine. Le Bénin et le Cameroun n’en implémentent aucun.
La deuxième observation nous révèle que plus de 90 % des applications concernent l’enseignement général : la lecture, les mathématiques, ou les langues. En dehors des applications d’alphabétisation ou de calcul qui peuvent servir à un public très peu scolarisé comme nous l’avons vu plus haut, il existe très peu d’applications de mobile-learning pour l’enseignement technologique.
Conclusion
Les gouvernements africains ont compris qu’il ne saurait y avoir de lutte efficace pour le travail décent sans une prise en compte des problématiques de l’économie informelle. Au rang desquelles la formation professionnelle. Malgré les initiatives louables dans l’élaboration de stratégies, la formation professionnelle reste le parent pauvre de l’éducation. On est très loin d’atteindre l’égalité avec l’enseignement général à l’horizon 2015. Un des objectifs définis dans le second plan décennal de l’éducation (2006-2015) de l’Union Africaine.
Les TIC qui bouleversent les systèmes économiques et politiques dans le monde sont en Afrique un puissant vecteur de croissance. La téléphonie mobile a réussi à pénétrer les villages les plus reculés, à inclure les couches sociales les plus vulnérables, les moins scolarisées qui évoluent surtout dans l’économie informelle. Le mobile-learning, pourtant apprentissage informel par définition, progresse plus vite dans la formation formelle que dans le secteur informel. Il est possible que les obstacles soient d’ordre organisationnel ou psychologique plutôt que technologique.
Bibliographie
Dahmani, A. (2005). Les TIC : une chance pour l’Afrique ? Dans Société numérique et développement en Afrique.
BIT. (1993). Résolution concernant les statistiques de l’emploi dans le secteur informel adoptée par la quinzième conférence internationale des statisticiens du travail.
BIT. (2009). Pacte mondial pour l’emploi.
BIT. (2012). L’amélioration de l’apprentissage informel en Afrique.
Bonaventure, M. (2008). Problématique de la formation professionnelle et de l’insertion des finalistes du CED.
Burns, M. Dans Téléphonie mobile et formation des enseignants, Partenariat mondial pour l’éducation,
20 août 2013. Consulté à : http://www.educationforallblog.org/fr/education-and- technology/if-we-text-it-will-they-learn
Conté, B. (2001). La fracture numérique en Afrique. En ligne : http://conte.u-bordeaux4.fr/ Enyon, T. (2013). L’apprentissage mobile en Afrique, la désillusion. Consulté à : http://www.teteenyon.net/2013/10/lapprentissage-mobile-en-afrique-la-desillusion.html
Farrell, G. et Isaacs, S. (2007). Survey on ICT and Education in Africa: A summary report, based on 53 country survey report. Washington, DC : infodev/worldbank.
GSMA (2011). Rapport observatoire de la téléphonie mobile en Afrique.
Khoussou. Dans Wapeduc développe le m-learning en Afrique, Économie numérique le blog, 23 septembre 2012. Consulté à : blog.economie-numerique.net/2012/09/23/wapeduc- developpe-le-m-learning-en-afrique/
Karsenti, T. et Lessard, C. (2007). 30 000 000 d’enseignants à former en huit ans. Formation et Profession, 14(1), p. 2-4.
Karsenti, T. (dir.) (2009). Intégration pédagogique des TIC : Stratégies d’action et pistes de réflexions. Ottawa : CRDI.
Khalid, A., Abdelkrim, E. et Ilham, L. (2008). La politique d’intégration des technologies de l’information et de la communication dans le système éducatif marocain. EpiNet, 104. En ligne : http://www.epi.asso.fr/revue/articles/a0804a.htm
Labrooy, M. (2013, 4 avril). L’Afrique à l’heure de la révolution des smartphones Dans E-Learning Africa, 04 avril 2013. Consulté à : http://www.elearning-africa.com/eLA_Newsportal/ lafrique-a-lheure-de-la-revolution-des-smartphones/
Leach, J. (2005). Do New Information and Communication Technologies Have a Role to Play in Achieving Quality Professional Development for Teachers in the Global South? The curriculum Journal (16)3, p. 293-329.
Mian, S. A. (2010). Fracture numérique dans la formation des enseignants en Afrique de l’Ouest.
Ngamo, S. T. (2007). Stratégies organisationnelles d’intégration des TIC dans l’enseignement secondaire au Cameroun : étude des écoles pionnières. Thèse de doctorat non publiée, université de Montréal, Canada.
Ngamo, S. T. (2009). Prérequis à une intégration pédagogique des TIC. Dans Karsenti, T. (dir.), Intégration pédagogique des TIC : Stratégies d’action etpistes de réflexions (p. 76-93). Ottawa : CRDI.
Paud, M., Steve, A., Andrea, B., Jeanne, M. (2002). Améliorer les possibilités d’apprentissage en Afrique : l’enseignement à distance et les technologies de l’information et de la communication au service de l’apprentissage. Département du développement humain, Région Afrique, Banque Mondiale.
SMSI (2003). Plan action de Genève. Rapport e-learning Africa 2012.
République du Bénin. (2001). Réforme de l’enseignement technique et professionnel.
République du Sénégal. (2005). Lettre de politique générale pour le secteur de l’éducation et de la formation.
République du Cameroun. (2005). Le document de stratégie sectorielle de l’éducation du Cameroun. Research ict Africa. (2006). Sme E-access and usage across 14 African countries.
Sagna, O. (2006). La lutte contre la fracture numérique en Afrique : Aller au-delà de l’accès aux infrastructures. Hermès, 45, p. 15-24.
Traoré, D. (2009). Quels sont les défis ? Dans T. Karsenti (dir.), Intégration pédagogique des TIC : Stratégies d’action et pistes de réflexions (p. 111-121). Ottawa : CRDI.
Walker, R. (2006). Document de travail no 21 : Formation professionnelle en secteur informel. Rapport sur l’enquête de terrain au Sénégal.
Walker, R. (2007). La formation professionnelle en secteur informel.
En savoir plus sur RAIFFET
Subscribe to get the latest posts sent to your email.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.